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Maurice Maeterlinck

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Maurice Maeterlinck
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Maeterlinck vers l'âge de 40 ans.
Nom de naissance Maurice Polydore Marie Bernard Maeterlinck
Naissance
Gand, Flandre-Orientale,
Drapeau de la Belgique Belgique
Décès (à 86 ans)
Nice, Alpes-Maritimes,
Drapeau de la France France
Activité principale
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture Français
Mouvement Symbolisme

Œuvres principales

Maurice Maeterlinck (/ma.tɛʁ.lɛ̃ːk/ en Belgique ; /mɛ.teʁ.lɛ̃ːk/ en France[1]), né le à Gand (Belgique) et mort le à Nice (France), est un écrivain francophone belge, prix Nobel de littérature en 1911.

Figure de proue du symbolisme belge, il reste aujourd'hui célèbre pour son mélodrame Pelléas et Mélisande (1892), sommet du théâtre symboliste mis en musique par Debussy en 1902, pour sa pièce pour enfants L’Oiseau bleu (1908), et pour son essai inspiré par la biologie La Vie des abeilles (1901), œuvre au centre du cycle d'essais La Vie de la nature, composé également de L'Intelligence des fleurs (1907), La Vie des termites (1926), La Vie de l’espace (1928) et La Vie des fourmis (1930).

Il est aussi l'auteur de treize essais mystiques inspirés par Ruysbroeck l'Admirable et réunis dans Le Trésor des humbles (1896), de poèmes recueillis dans Serres chaudes (1889), ou encore de Trois petits drames pour marionnettes (1894, trilogie formée par Alladine et Palomides, Intérieur, et La Mort de Tintagiles).

Son œuvre fait preuve d'un éclectisme littéraire et artistique (importance de la musique dans son œuvre théâtrale) propre à l'idéal symboliste.

Maeterlinck avant 1905

Généalogie

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Les origenes paternelles[2] de la famille Maeterlinck sont à trouver à Renaix où l'on voit un Neese Maeterlinck mentionné déjà en 1357, outre un échevin Willem Maeterlinc en 1374, un homme de fief du même nom en 1387, un Pieter Maeterlinc qui fut bailli de Renaix de 1485 à 1494, un tapissier Adriaan Materlinc en 1596, ainsi que Passchier Maeterlinc qui habitait Renaix aux alentours de 1510 et qui est l'ancêtre direct de Maurice Maeterlinck. C'est un descendant direct de ce Passchier qui fit souche à Gand. En effet le trisaïeul de Maurice Maeterlinck (le père de son arrière-grand-père), nommé Joannes Baptiste Maeterlinck, un charpentier, né à Renaix (Saint-Martin) le 10 décembre 1726, fils d'un autre Jean Baptiste Maeterlinck et d'Anne Cauterman, quitta sa ville natale. Il épousa à Gand en 1757 une jeune gantoise, Maria Philippina Soigny, née à Gand en 1735. Ceux-ci eurent alors pour enfant Ludovicus Maeterlinck, né à Gand en 1773, qui sera négociant, et épousa à Gand en 1800 Isabella Francisca Harsijn, née à Gand en 1778, de parents gantois. Le fils issu de ce mariage, Bernardus Maeterlinck, propriétaire, né à Gand en 1804, épousa en 1829 Melania Van Beerlere, également gantoise, née en 1805, de parents et de grands-parents gantois. Enfin, leur fils Polydorus Maeterlinck, qui sera le père de Maurice, est né à Gand en 1835 et épousa à Gand une gantoise Mathildis Vanden Bossche née à Gand en 1835 également, mais dont les racines paternelles sont à trouver à Zottegem.

Né à Gand, Maurice Polydore Marie Bernard Maeterlinck est l'aîné d'une famille de trois enfants, flamande, bourgeoise, catholique, conservatrice et francophone. Après des études au collège Sainte-Barbe (Sint-Barbara) de Gand, il suit des études en droit avant de pratiquer le métier d'avocat durant une courte période. Maeterlinck publie, dès 1885, des poèmes d’inspiration parnassienne dans La Jeune Belgique. Il part pour Paris où il rencontre plusieurs écrivains qui vont l'influencer, dont Stéphane Mallarmé et Villiers de l’Isle-Adam. Ce dernier lui fait découvrir les richesses de l'idéalisme allemand (Hegel, Schopenhauer). À la même époque, Maeterlinck découvre Ruysbroeck l'Admirable, un mystique flamand du XIVe siècle dont il traduit les écrits (Ornement des noces spirituelles). C'est ainsi qu'il se tourne vers les richesses intuitives du monde germanique en s'éloignant du rationalisme français. Dans cet esprit, il se consacre à Novalis et entre en contact avec le romantisme d'Iéna (Allemagne, 1787-1831, autour d'August et Friedrich Schlegel et de la revue l'Athenäum), précurseur en droite ligne du symbolisme. Les œuvres que publie Maeterlinck entre 1889 et 1896 sont imprégnées de cette influence germanique.

C'est en qu'il devient célèbre grâce à un article d'Octave Mirbeau sur La Princesse Maleine dans Le Figaro[3].

Georgette Leblanc et Maurice Maeterlinck

En 1895, il rencontre à Bruxelles Georgette Leblanc, sœur de Maurice Leblanc, avec laquelle il entame une relation amoureuse qui durera 23 ans. La même année, le couple s'installe à Passy, vivant ouvertement en concubinage, au grand dam de leurs familles catholiques. Georgette Leblanc avait en effet épousé un Espagnol quelques années auparavant, et la législation espagnole de l'époque lui interdisait le divorce pour mettre fin à ce mariage malheureux. Maurice Maeterlinck tiendra, avec elle, vers 1897, un salon parisien fort couru dans la villa Dupont : on y croise, entre autres, Oscar Wilde, Paul Fort, Stéphane Mallarmé, Camille Saint-Saëns, Anatole France, Auguste Rodin. En 1902, il écrit Monna Vanna, où joue Georgette Leblanc. Il vit avec elle jusqu'en 1918, avant d'épouser, l'année suivante, le 15 février 1919, à Châteauneuf-de-Contes la jeune actrice Renée Dahon[4] (Nice - Auderghem, boulevard du Souverain 47, ), fille de Joseph Félix et de Rose Marie Pauline Malacria, que Maurice Maeterlinck avait rencontrée en 1911. C'est probablement vers ces années qu'il se lie d'amitié avec Jean Moréas et René Ghil. Entre-temps il a une liaison avec sa traductrice pour l'anglais, l'écrivaine Laurence Alma-Tadema[5].

En 1908, Constantin Stanislavski crée sa pièce L'Oiseau bleu au Théâtre d'art de Moscou. Elle sera jouée ensuite avec succès dans le monde entier.

Il obtient le prix Nobel de littérature en 1911, est fait grand officier de la Légion d'honneur puis reçoit le grand cordon de l'ordre de Léopold le , avant d'être anobli et fait comte par le roi Albert Ier en 1932[6]. En 1935, lors d'un séjour au Portugal, il préface les discours politiques du président Salazar : Une révolution dans la paix.

Maurice Maeterlinck conçoit son palais, Orlamonde, une somptueuse résidence bâtie au cap de Nice dans laquelle il vit avec son épouse[7].

En 1921, il signe un manifeste contre la flamandisation de l’université de Gand, où les cours se donnaient jusque-là en français. En 1928, il est membre fondateur de l'Académie des gastronomes[8].

En 1939, il gagne les États-Unis pour la durée de la Seconde Guerre mondiale. De retour à Nice en 1947, il publie un an plus tard Bulles bleues où il évoque les souvenirs de son enfance. L’Académie française lui décerne le prix de la langue-française en 1948. Maeterlinck meurt le , à 23 heures, à son domicile, villa Orlamonde, sis 200 boulevard Carnot[9]. Maurice Maeterlinck n'a pas eu d'enfant.

Son recueil poétique Serres chaudes paraît en 1889 chez Léon Vanier, l’éditeur de Paul Verlaine. Ces vers s’inscrivent dans la ligne de la « dépersonnalisation de l'écriture » et réalisent en partie l’idéal mallarméen : la suggestion, comme essence de « tous bouquets », devient le principe générateur de l’acte de création « pure ». Par la répétition du mot, Maeterlinck atteint une vibration spirituelle, « une résonance intérieure ».

Portrait de Maurice Maeterlinck
par Félix Vallotton
paru dans Le Livre des masques
de Remy de Gourmont (1898)

« Ils célèbrent une grande fête chez les ennemis !
Il y a des cerfs dans une ville assiégée !
Et une ménagerie au milieu des lys ! »

— Hôpital

Le vers est dérythmé, libéré des conventions. Guillaume Apollinaire s’en souviendra. Maeterlinck refuse naturalisme et parnasse pour s’engager sur la voie de la poésie allégorique où l’image rappelle l’iconographie médiévale, la peinture de Pieter Brueghel l'Ancien ou de Jérôme Bosch.

Maeterlinck fait aussi partie des grands dramaturges (Henrik Ibsen, Anton Tchekhov, August Strindberg et Gerhart Hauptmann) qui, vers 1880, ont contribué à transformer la conception du drame. De 1889 à 1894, il publie huit pièces où il crée un théâtre de l'âme, comme le rêvait le symbolisme. Dans cette forme neuve, trois concepts sont à retenir : le drame statique (personnages immobiles, passifs et réceptifs à l'inconnu) ; le personnage sublime (assimilé souvent à la mort, il est la Destinée ou la Fatalité, quelque chose de plus cruel peut-être que la mort) ; le tragique quotidien (pas d’héroïsme, le simple fait de vivre est tragique). L’action, par le jeu stylisé des acteurs, doit suggérer les attitudes de l’âme face au destin, l’éveil lent à la fatalité.

Sa pièce de théâtre Pelléas et Mélisande (1892) est un des sommets du symbolisme.

L’Oiseau bleu (1908), créée au Théâtre d'art de Moscou où elle est toujours au répertoire, a assuré à Maeterlinck une renommée internationale[10]. À Paris, la pièce est reprise en 1911 dans une mise en scène de Réjane. Elle est aujourd'hui traduite dans plus de 25 langues. Elle a connu plusieurs adaptations et de nombreuses variantes aux États-Unis, en Angleterre, en Russie et Japon où elle est inscrite dans la mémoire collective et populaire[11]. Elle fait l'objet en 2012 d'une nouvelle adaptation française par le Collectif Quatre Ailes[12], jouée au Festival d'Avignon Off[13].

À ce théâtre succède une œuvre d'essayiste qui connut le succès auprès du grand public. Maeterlinck part alors à la découverte philosophique du monde végétal (L'Intelligence des fleurs, 1907) et des insectes sociaux (La Vie des abeilles en 1901 (1er mai[14]), La Vie des termites en 1927, La Vie des fourmis en 1930).

La Vie des termites a été accusée d'être un plagiat du livre Die Siel van die Mier (L'Âme des termites, 1925) de l'écrivain et scientifique boer Eugène Marais. Marais lui a surtout reproché l'emprunt du concept d'unité organique de la termitière, ainsi que du terme « nasicorne » (un néologisme qu'il avait formé). D'autres ont affirmé que le contenu entier du livre est presque identique. Selon David Bignell, ce serait un « exemple classique de plagiat académique ». Il l'explique dans le cadre d'une étude biologique sur les termites[15]. Soutenu par un groupe d'influence boer, Marais a poursuivi Maeterlinck devant les tribunaux. Sa renonciation en cours de procédure serait due à une absence de fonds et à son addiction à la morphine. Le scandale a quand même permis à Marais d'atteindre une certaine renommée internationale (traduction de son livre en anglais).

David Van Reybrouck, dans Le Fléau, très largement consacré à une enquête sur cette question, ne constate pas d'identité entre les deux ouvrages mais une reprise ajoutée du concept d'unité organique de la termitière ainsi que du terme "nasicorne". Surtout, il établit que Maeterlinck a bien eu connaissance des écrits de Marais sur la question. Cela malgré la disparition intrigante de toutes les archives préparatoires à la rédaction par Maeterlinck de son ouvrage sur les termites.

Maeterlinck a également écrit des œuvres de métaphysique méconnues aujourd'hui. Ces dernières ne sont plus rééditées et s'intitulent : Le Temple enseveli (1902), L'Hôte inconnu (1917) et Le Grand Secret (1921).

Traductions

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  • Le Livre des XII béguines et L'Ornement des noces spirituelles de Ruysbroeck, traduit du flamand (1885).
  • L'Ornement des noces spirituelles de Ruysbroeck l'admirable (1891).
  • Annabella, adaptation en français d'une pièce du dramaturge John Ford (Tis Pity She's a Whore), représentée en 1894.
  • Les Disciples à Saïs et Fragments de Novalis, traduit de l'allemand avec une introduction de Maeterlinck sur Novalis et le romantisme allemand (1895) ;
    lire sur Wikisource : Les Disciples à Saïs et Fragments.
  • Macbeth de Shakespeare, traduit et adapté de l'anglais, représentée en 1909[16].

Maeterlinck et la musique

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Pelléas et Mélisande a inspiré au moins cinq compositeurs:

Autres adaptations :

  • 1954: Pelléas et Mélisande, ballet de Max Baumann
  • 2018 : Josephine Meckseper propose une adaptation au cinéma de cette pièce.

D'autres œuvres ont inspiré de nombreux autres compositeurs :

  • Ariane et Barbe-Bleue
  • L'Intruse
    • Opéra d'Aribert Reimann (L'invisible, avec deux autres pièces de Maeterlinck)

« Le poète dramatique est obligé de faire descendre dans la vie réelle, dans la vie de tous les jours, l’idée qu'il se fait de l’inconnu. Il faut qu’il nous montre de quelle façon, sous quelle forme, dans quelles conditions, d’après quelles lois, à quelle fin agissent sur notre destinée les puissances supérieures, les influences inintelligibles, les principes infinis, dont, en tant que poète, il est persuadé que l’univers est plein. »

— Maeterlinck

« Maeterlinck a été tenté de donner la vie à des formes, à des états de la pensée pure. Pelléas, Tintagiles, Mélisande sont comme les figures visibles de tels spécieux sentiments. Une philosophie se dégage de ces rencontres à laquelle Maeterlinck essaiera plus tard de donner un verbe, une forme dans la théorie centrale du tragique quotidien. Ici le destin déchaîne ses caprices ; le rythme est raréfié, spirituel, nous sommes à la source même de la tempête, aux cercles immobiles comme la vie. Maeterlinck a introduit le premier dans la littérature la richesse multiple de la subconscience. […] Il est apparu dans la littérature au moment qu’il devait venir. Symboliste il l’était par nature, par définition. Ses poèmes, ses essais, son théâtre, sont comme les états, les figures diverses d’une identique pensée. L’intense sentiment qu’il avait de la signification symbolique des choses, de leurs échanges secrets, de leurs interférences, lui a donné par la suite le goût de les faire revivre en les systématisant. C'est ainsi que Maeterlinck se commente avec les images mêmes qui lui servent d’aliment. »

— Antonin Artaud, dans Préface aux Douze chansons (1923)

« La scène, chez Maeterlinck, ne tient jamais dans le champ d’une lorgnette. Elle reste large, et, avec une étrange fraternité, la tour et l’arbre doivent agir à côté du héros, et chaque accessoire et chaque bruit doivent conserver et accomplir leur signification. Il s’agit pour chaque comédien de donner des contours, de souligner les limites de son personnage, et non ce qu’il contient. Il n’a pas le droit d'attirer l’attention, de s’isoler par son jeu individuel, il doit jouer comme le visage voilé, humble dans la mêlée des personnages et de leurs anxieuses rencontres. »

— Rainer Maria Rilke, Pelléas et Mélisande

« Dans les oeuvres de Maeterlinck, en particulier dans les livres comme Sagesse et destinée, on est amené à méditer sur des grandes figures du passé (prises dans la vie et dans la littérature) qui ont affronté l'adversité avec une noble sérénité. »

— Henry Miller, Les livres de ma vie

Envoi de Maurice Maeterlinck
Envoi de Maurice Maeterlinck

Notes et références

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  1. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, 1994.
  2. Guy Gadeyne, Nobelprijswinnaar Maurice Maeterlinck heeft Ronsese roots, dans les Annales de Renaix, Cercle Historique et Archéologique de Renaix et du Ténement d'Inde, 2012, pages 119 à 123; Guy Waltenier, Les quartiers d'ascendance de Maurice Maeterlinck, dans L'Intermédiaire des Généalogistes, 1982, pages 302 à 306.
  3. Octave Mirbeau, « Maurice Maeterlinck », Figaro, 24 août 1890.
  4. Guy Waltenier, Maeterlinck, dans L'Intermédiaire des Généalogistes, 1984, page 138.
  5. (ar) Maxime Benoît-Jeannin, Georgette Leblanc & Maurice Maeterlinck: Biographie, Le Cri, (ISBN 978-2-87106-787-0, lire en ligne)
  6. Maurice Maeterlinck n'a cependant jamais levé les lettres patentes. La faveur nobiliaire prend d’abord la forme d’un arrêté royal et le bénéficiaire doit ensuite lever les lettres patentes de noblesse. L’octroi d'une faveur nobiliaire ne prend son plein effet que par la signature du Roi apposée sur les lettres patentes et par l’enregistrement de ce document. L’arrêté royal accordant une faveur nobiliaire ne donne que l’autorisation de procéder à la levée de la lettre patente. Maurice Maeterlinck ne l'ayant pas effectuée, son anoblissement et le titre de comte qui lui fut accordé ne furent dès lors jamais effectifs.
  7. André Bourin et Jean Rousselot, Dictionnaire de la littérature française contemporaine, Librairie Larousse, Paris, 1966.
  8. « Paris-soir 30 mai 1928 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  9. Alex Pasquier, Maurice Maeterlinck, La Renaissance du Livre, , 295 p., p. 125, note 1, qui cite l'acte de décès (no 1417) extrait des registres des actes de l'État civil déposés aux archives de la mairie de Nice.
  10. [1].
  11. [2].
  12. [3].
  13. [4].
  14. Maurice Maeterlinck, P. Seghers, 1962.
  15. [5]
  16. [6].

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Bibliographie

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Livres
  • Christian Janssens, Maurice Maeterlinck, un auteur dans le cinéma des années dix et vingt, Bruxelles ; Berne ; Berlin... [et al] : Peter Lang, 2016 (ISBN 978-2-87574-349-7)
  • Gérard Dessons, Maeterlinck, le théâtre du poème, Classiques Garnier, Paris, 2016
  • Paul Gorceix, Maeterlinck, l’arpenteur de l’invisible, Le Cri/A.R.L.L.F., Bruxelles, 2005
  • Gérard Dessons, Maeterlinck, le théâtre du poème, Laurence Teper, Paris, 2005
  • Gaston Compère, Maurice Maeterlinck, La Manufacture, Paris,1990
  • Paul Gorceix, Les affinités allemandes dans l’œuvre de Maurice Maeterlinck, Presses universitaires de France, Paris, 1975
  • Joseph Hanse, Robert Vivier [et al.], Maurice Maeterlinck 1862-1962, La Renaissance du Livre, Bruxelles, 1962
  • Roger Bodart, Maurice Maeterlinck, Paris, éd. Pierre Seghers, coll. "Poètes d'aujourd'hui", 1962; réédition Maeterlinck en partie double, éd. Académie et Le Cri, 2011 : https://www.arllfb.be/publications/essais/double.html [archive]
Articles
  • Jean-Paul Chemin, « Notes sur les sources populaires des Chansons de Maeterlinck » dans Textyles, no 1-4, 1997 (rééd.), p. 25-30 [lire en ligne]
  • Michèle Couvreur, « Le Thème mythique de l’ondine dans le théâtre de Maeterlinck » dans Textyles, n° 1-4, 1997 (rééd.), p. 45-50 [lire en ligne]
  • Ana Gonzalez Salvador, « La pièce qui fait défaut - Lecture d’Onirologie de M. Maeterlinck » dans Textyles, n° 10, 1993, p. 59-71 [lire en ligne]
  • Paul Gorceix, « Maeterlinck symboliste : Le Langage de l’obscur » dans Textyles, n° 1-4, 1997 (rééd.), p. 13-24 [lire en ligne]
  • Paul Gorceix, « L’Image de la germanité chez un Belge flamand de langue française : Maurice Maeterlinck (1862-1949) » dans Revue de littérature comparée, 2001/3, n° 299, p. 397-409 [lire en ligne]
  • Christian Lutaud, « Le Motif de la noyade chez Maeterlinck » dans Textyles, n° 1-4, 1997 (rééd.), p. 51-61 [lire en ligne]
  • Tchystiak, Dmytro. « Gradation du symbolisme phonétique dans Les Sept Princesses de Maurice Maeterlinck ». // Mélanges francophones, fascicule XXIII, n° 3 (Actes de la Conférence « Formes textuelles de la communication. De la production à la réception » 27 – ), Galaţi, université « Dunărea de Jos », 2009.
  • Dmytro Chystiak, Iurii Mosenkis. « L’Intérieur et l’extérieur dans le premier théâtre de Maurice Maeterlinck » dans Studii si cercetari filologice. Seria Limbi Romanice, 2020, n° 27, p. 58-73.

Articles connexes

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Liens externes

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