Statut des langues des signes en Océanie
Apparence
Le statut des langues des signes en Océanie diffère selon les pays, en 2019, seule la Nouvelle-Zélande reconnait une langue des signes dans sa constitution.
Langue des signes officielle dans la Constitution
[modifier | modifier le code]- Nouvelle-Zélande : La langue des signes néo-zélandaise est une langue officielle du pays, statut qu'elle partage avec l'anglais (langue officielle de facto) et le maori[1]. La loi reçoit une sanction royale, formalité constitutionnelle, le [2]. La langue des signes néo-zélandaise devient langue officielle le jour suivant.
Langues des signes reconnues par la loi
[modifier | modifier le code]Reconnaissance totale
[modifier | modifier le code]- Papouasie-Nouvelle-Guinée : La langue des signes papouasienne devient le quatrième langue officielle avec l'anglais, le tok pisin et le hiri motu[3],[4].
Reconnaissance partielle
[modifier | modifier le code]- Australie : L'Auslan, la langue des signes australienne, est reconnue par le gouvernement australien comme « langue communautaire autre que l'anglais » et la langue préférée de la communauté des sourds dans les déclarations politiques en 1987[réf. nécessaire] et 1991[réf. nécessaire].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) John Wilson, « Government and nation: Nationhood and identity », Te Ara Encyclopedia of New Zealand.
- (en) « Governor-General gives assent to Sign Language Bill », sur www.scoop.co.nz (consulté le )
- « La langue des signes devient officielle en Papouasie-Nouvelle-Guinée », sur tahiti-infos.com, Tahiti-Infos, (consulté le ).
- (en) « Sign language becomes an official language in PNG » [« La langue des signes devient une langue officielle en PNG »], sur radionz.co.nz, Radio New Zealand, (consulté le ).