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- Les caractères chinois, ou sinogrammes, sont les unités logographiques qui composent l'écriture des langues chinoises. Ils sont appelés en chinois hànzì (« caractères han »), s'écrivant, en chinois traditionnel : 漢字, et depuis le XXe siècle en République populaire de Chine, en Malaisie et à Singapour, en chinois simplifié : 汉字. Ils ont été dans le passé ou sont également de nos jours utilisés pour écrire d'autres langues, à titre principal ou complémentaire, notamment le coréen (hanja), le japonais (kanji) ou le vietnamien (chữ nho). Leur utilisation s'étend donc sur une large étendue géographique, la « sinosphère ». Les caractères chinois forment le plus ancien système d'écriture qui soit resté d'un usage continu.Du fait de leur usage généralisé en Chine et au Japon, et par l'usage historique qui en a été fait dans la sinosphère, les caractères chinois figurent au deuxième rang des systèmes d'écriture dans le monde, derrière l'alphabet latin, et devant tous les autres systèmes alphabétiques. L’effectif précis des sinogrammes existants est sujet à débat. Leur nombre peut se compter en dizaines de milliers, les estimations vont de 40 000 à plus de 60 000 si on prend en considération leur nombre sur la durée totale d’existence de l’écriture chinoise. Mais les 3⁄4 sont des variantes graphiques (异体字 / 異體字, yìtǐzì) qui ne sont plus utilisées. Le chinois courant requiert la connaissance de 3 000 à 5 000 sinogrammes et le japonais de 2 000 à 3 000. Les caractères chinois retranscrivent à l'origine le chinois archaïque et le chinois médiéval. Ils se rattachent à présent à divers standards nationaux de caractères, qui donnent une référence pour la forme et la prononciation. Les sinogrammes simplifiés (简体字 / 簡體字, jiǎntǐzì) sont utilisés officiellement en Chine continentale et à Singapour. Les sinogrammes traditionnels sont utilisés à Taïwan, à Hong Kong et à Macao. Cette écriture que les Occidentaux appellent « traditionnelle », est désignée en chinois soit par le terme 繁体字 / 繁體字, fántǐzì, « caractères compliqués » soit par le terme 正体字 / 正體字, zhèngtǐzì, « caractères normaux », cette deuxième appellation étant principalement utilisée à Taïwan. Le Japon a également simplifié à sa manière une partie des caractères d'usage fréquent, en forme simplifiée japonaise (shinjitai). Le nombre de traits (筆素, bǐ sù) d'un sinogramme peut aller de un (一 / 乙) à trente-six (齉, Nàng) pour ce qui est de l’écriture simplifiée, voire plus pour des idéogrammes traditionnels ou des variantes. (fr)
- Les caractères chinois, ou sinogrammes, sont les unités logographiques qui composent l'écriture des langues chinoises. Ils sont appelés en chinois hànzì (« caractères han »), s'écrivant, en chinois traditionnel : 漢字, et depuis le XXe siècle en République populaire de Chine, en Malaisie et à Singapour, en chinois simplifié : 汉字. Ils ont été dans le passé ou sont également de nos jours utilisés pour écrire d'autres langues, à titre principal ou complémentaire, notamment le coréen (hanja), le japonais (kanji) ou le vietnamien (chữ nho). Leur utilisation s'étend donc sur une large étendue géographique, la « sinosphère ». Les caractères chinois forment le plus ancien système d'écriture qui soit resté d'un usage continu.Du fait de leur usage généralisé en Chine et au Japon, et par l'usage historique qui en a été fait dans la sinosphère, les caractères chinois figurent au deuxième rang des systèmes d'écriture dans le monde, derrière l'alphabet latin, et devant tous les autres systèmes alphabétiques. L’effectif précis des sinogrammes existants est sujet à débat. Leur nombre peut se compter en dizaines de milliers, les estimations vont de 40 000 à plus de 60 000 si on prend en considération leur nombre sur la durée totale d’existence de l’écriture chinoise. Mais les 3⁄4 sont des variantes graphiques (异体字 / 異體字, yìtǐzì) qui ne sont plus utilisées. Le chinois courant requiert la connaissance de 3 000 à 5 000 sinogrammes et le japonais de 2 000 à 3 000. Les caractères chinois retranscrivent à l'origine le chinois archaïque et le chinois médiéval. Ils se rattachent à présent à divers standards nationaux de caractères, qui donnent une référence pour la forme et la prononciation. Les sinogrammes simplifiés (简体字 / 簡體字, jiǎntǐzì) sont utilisés officiellement en Chine continentale et à Singapour. Les sinogrammes traditionnels sont utilisés à Taïwan, à Hong Kong et à Macao. Cette écriture que les Occidentaux appellent « traditionnelle », est désignée en chinois soit par le terme 繁体字 / 繁體字, fántǐzì, « caractères compliqués » soit par le terme 正体字 / 正體字, zhèngtǐzì, « caractères normaux », cette deuxième appellation étant principalement utilisée à Taïwan. Le Japon a également simplifié à sa manière une partie des caractères d'usage fréquent, en forme simplifiée japonaise (shinjitai). Le nombre de traits (筆素, bǐ sù) d'un sinogramme peut aller de un (一 / 乙) à trente-six (齉, Nàng) pour ce qui est de l’écriture simplifiée, voire plus pour des idéogrammes traditionnels ou des variantes. (fr)
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- Les caractères chinois, ou sinogrammes, sont les unités logographiques qui composent l'écriture des langues chinoises. Ils sont appelés en chinois hànzì (« caractères han »), s'écrivant, en chinois traditionnel : 漢字, et depuis le XXe siècle en République populaire de Chine, en Malaisie et à Singapour, en chinois simplifié : 汉字. Ils ont été dans le passé ou sont également de nos jours utilisés pour écrire d'autres langues, à titre principal ou complémentaire, notamment le coréen (hanja), le japonais (kanji) ou le vietnamien (chữ nho). Leur utilisation s'étend donc sur une large étendue géographique, la « sinosphère ». (fr)
- Les caractères chinois, ou sinogrammes, sont les unités logographiques qui composent l'écriture des langues chinoises. Ils sont appelés en chinois hànzì (« caractères han »), s'écrivant, en chinois traditionnel : 漢字, et depuis le XXe siècle en République populaire de Chine, en Malaisie et à Singapour, en chinois simplifié : 汉字. Ils ont été dans le passé ou sont également de nos jours utilisés pour écrire d'autres langues, à titre principal ou complémentaire, notamment le coréen (hanja), le japonais (kanji) ou le vietnamien (chữ nho). Leur utilisation s'étend donc sur une large étendue géographique, la « sinosphère ». (fr)
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