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Décoration du brassard de Bordeaux

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Décoration du Brassard de Bordeaux
Illustration.
Décoration du brassard de Bordeaux créé au début de la Restauration (1814)
Décoration du Brassard de Bordeaux
Conditions
Décerné par Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Type Décoration militaire
Statistiques
Création
Première attribution 1814
Dernière attribution 1830
Total 1000
Ordre de préséance
Illustration.
Ruban de la Décoration du brassard de Bordeaux

La Décoration du brassard de Bordeaux est une décoration militaire française créée le 5 juin 1815 par le Duc d'Angoulême.

La situation au début de 1814

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À l'issue de la dure guerre d'indépendance espagnole (1808-1814), l’armée française du maréchal Soult doit se replier au nord des Pyrénées. En octobre-novembre 1813, les forces britanniques, espagnoles et portugaises commandées par Arthur Wellesley, marquis de Wellington, forcent la ligne fortifiée de la Rhune et entrent sur le territoire français. Elles remportent la bataille de la Bidassoa le , celle de la Nivelle le 10 novembre et celle de la Nive les 9-12 décembre. L'invasion du sud-ouest de la France (en) est le prolongement de la campagne de la péninsule. Du fait de ces évènements, les royalistes bordelais s'organisent en prévision de la chute prochaine du Premier Empire. Une garde royale clandestine placée sous les ordres du commissaire du roi en Guyenne, Taffart de Saint-Germain est alors créée[note 1]. Elle se développe et compte en février 1814, douze compagnies d’une soixantaine d’hommes chacune, placée sous les ordres du commissaire du roi.

Le , le duc d’Angoulême, neveu du Roi Louis XVIII, débarque en Espagne, à Saint-Sébastien, puis se rend à Saint-Jean de Luz auprès du duc de Wellington qui ne lui offre aucun soutient franc. Il vient pour représenter Louis XVIII dans les départements du sud de la France[1].

Le 6 mars, Wellington décide d'envoyer des troupes à Bordeaux, mal défendue par la garnison du général L'Huillier, commandant la place mais dont l'effectif est trop faible pour soutenir un siège et qui a consigne de quitter la ville quand les troupes alliées seront à une journée de marche. Les royalistes poussent les autorités civiles et militaires impériales à quitter la ville en grossissant la menace anglaise. Le , Jean-Baptiste Lynch, maire de Bordeaux et les compagnies de la garde royale, accueillent Place Nansouty le général Beresford à la tête des troupes anglaises. Jean-Baptiste Lynch, ayant négocié secrètement avec les royalistes, proclame la restauration des Bourbon et fait hisser le drapeau blanc[2]. Le duc d'Angoulême arrive à Bordeaux le même jour, accueilli par une garde d'honneur portant un mouchoir blanc noué autour du bras[3]. C'est la première ville française à proclamer la déchéance de Napoléon. L'armée des Pyrénées se trouve ainsi avec les forces anglaises sur ses arrières.

Le Brassard de Bordeaux

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Les hommes de la garde royale reçurent en récompense de leurs services la Décoration du Lys, mais aussi, et en particulier pour ceux qui étaient présents en son sein avant et durant la journée du 12 mars[4],[note 2], une nouvelle distinction : le Brassard de Bordeaux, créé le 5 juin 1814[3],[note 3] par le duc d’Angoulême et attribué, dès le 17 juillet, aux hommes de la garde royale à pied ainsi qu’aux volontaires royaux à cheval[5],[note 4].

La médaille de la Décoration du Brassard de Bordeaux

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Une délégation de volontaires royaux, reçue le par le roi, demande la création d’une décoration plus classique[6],[note 5]. Le roi approuve cette requête et c’est ainsi qu'est créée, ce même jour, la Décoration du brassard de Bordeaux[7]

La Décoration du brassard de Bordeaux a pu être appelé par certains auteurs Ordre du brassard de Bordeaux, et ce, en raison notamment du serment, ou plutôt de l’engagement sacré de soutenir et de défendre la cause du roi au prix de son sang et de sa vie, pris par les titulaires en acceptant cette décoration. Il n’en demeure pas moins que le brassard de Bordeaux n’a jamais été considéré officiellement comme un ordre, mais comme une décoration[8].

Lorsqu’à partir de 1824, la Décoration du brassard de Bordeaux est contrôlée par la Grande chancellerie de l’Ordre royal de la Légion d’honneur, les titulaires se voient demander de retourner leur brevet afin qu’il soit enregistré officiellement.

Sous Louis-Philippe Ier, l’ordonnance du Roi du abolit la Décoration du brassard de Bordeaux[note 6]

Modalités d'attribution

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La Décoration du Brassard de Bordeaux a été attribuée :

  • Aux volontaires royaux à pied bordelais.
  • À la garde royale à cheval bordelaise.
  • Aux particuliers ayant particulièrement œuvré pour la Restauration autour du à Bordeaux.
  • À certains volontaires royaux de Dordogne.

Caractéristiques

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Le Brassard

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Brassard de la garde à pied

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Brassard en forme de bandeau en soie blanche moirée de 6 cm de largeur, bordée par un liseré vert de 8 mm et terminée sur ses deux extrémités par des franges d’argent. Au centre du brassard, un écusson portait l’inscription BORDEAUX 12 MARS 1814. Ce brassard, noué autour du bras gauche, a existé sous une seconde variante caractérisée par un écusson aux lettres, brodées en soie verte, plus grandes et des tombants plus longs aux extrémités bordées de torsades d’argent[1],[9],[10]

Brassard de la garde à cheval

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Brassard en forme de bandeau en soie blanche, brodé d'un soleil en cannetille d'or, le centre rond en argent émaillé : une jarretière verte bordée d'un filet d'or, portant l'inscription en lettres d'or : « BORDEAUX 12 MARS 1814 » et, au milieu, sur fond blanc, les deux : « L » entrelacés, également en fil de couleur or. Le brassard est lacé au bras par deux petits cordonnets de soie jaune, terminés chacun par un gland en cannetille d'or[1].

La Décoration du Brassard de Bordeaux prend la forme d'un médaillon ovoïde, double face, représentant un soleil aux rayons d'or brunis.

Sur l’avers : le centre portait en lettres d’or, le monogramme du roi Louis XVIII composé par deux « L » en opposition et entrelacés, sur un fond d’émail blanc. Ce motif central était entouré par une jarretière portant l’inscription en lettres d’or sur fond d’émail vert BORDEAUX 12 MARS 1814[11].

Sur le revers : identique à l’avers. Le médaillon était surmonté par une couronne royale sommée d’un globe portant une petite fleur de lys[12].

Cet insigne fut réalisé en trois tailles différentes[13] :

  • Un modèle de taille standard ( grand module ), d’une hauteur totale, au coulant de la bélière, de 33 mm et d'une largeur de 21 mm ;
  • Un modèle de taille moyenne ( moyen module ), d’une hauteur totale, au coulant de la bélière, de 29 mm et d'une largeur de 15 mm ;
  • Un modèle de petite taille ( petit module ), d’une hauteur totale, au coulant de la bélière, de 25 mm et d'une largeur de 13 mm.

Le ruban de la décoration était aux couleurs du Brassard d’origine : vert avec sur chaque bord, une raie blanche de 4 mm et un liseré vert de 1 mm.

Bénéficiaires

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Louis-Antoine d'Artois Duc d'Angoulême puis Dauphin de France portant (entre autres) la Décoration du Brassard de Bordeaux

Nombre de bénéficiaires

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  • Les gardes royaux à pied de Bordeaux (730 titulaires)
  • Les volontaires royaux à cheval de Bordeaux (275 titulaires)
  • Quatre hommes de la garde royale du Périgord et du Quercy, présents le 12 mars à Bordeaux
  • Les officiers français du régiment des chasseurs britanniques
  • Diverses personnalités de la ville de Bordeaux.

Les deux dernières catégories représentant une centaine de titulaires ; c’est donc au total un peu plus d’un millier de personnes qui reçurent la Décoration du brassard de Bordeaux.

Bénéficiaires célèbres

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Bibliographie

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  • Aymar de Saint-Saud, « Séance du jeudi 6 octobre 1910 », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1910, tome 37, p. 417 (lire en ligne)
  • Louis Roger d'Arlot, marquis de Cumond, « L'ordre du Brassard en Périgord », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1911, tome 38, p. 152-156 (lire en ligne)
  • Laurent Coste, La mémoire du 12 mars 1814 dans le Mémorandum, In: Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde, N°25, 2019. pp. 187-195.
  • Laurent Coste, Bordeaux et la restauration des Bourbons, In: "Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale", Tome 105, N°201, 1993, Bordeaux, XVIIIe-XIXe siècle : nouvelles approches. pp. 27-43.
  • Claude Ducourtial, Ordres et décorations, Que sais-je ?, P.U.F., 1968
  • Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912
  • Philippe Mansel, « De la révolution royaliste du 12 mars 1814 à Bordeaux au duc de Bordeaux », dans sous la direct d'Emmanuel de Waresquiel, Les lys et la République, Tallandier, 2015, p. 25-42
  • Philippe Mansel, « Bordeaux et les Bourbons en 1814 : une ville contre Napoléon », Le Sud-Ouest, la France et l’Europe à la fin de l’Empire napoléonien, édité par Laurent Coste, Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine, 2015,
  • La décoration du Lis, numéro spécial édité par l'association des collectionneurs d'insignes et de décorations, Symboles & Tradition, 1988

Notes et références

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  1. Eugène Labaume, Histoire de la chute de Napoléon, 1820, p. 304-305 :« Nous avons vu que les royalistes de Bordeaux étaient depuis long-temps en relation avec Louis XVIII ; favorisés par les évènements, ils obtinrent l’autorisation de former un comité dont M. Taffard de Saint-Germain fut le chef ; sa prudence et sa loyauté inspiraient la confiance générale. Ce comité, composé d’un grand nombre de personnes de toutes les classes, renfermait beaucoup d’artisans dont le zèle était d’autant plus louable qu’il était très désintéressé. M. de Gombault, sous le prétexte de former une association pieuse, réunit une société politique à laquelle s’attacha M. Louis de Larochejacquelin, frère du célèbre vendéen de ce nom. Depuis l’origine de la Révolution, cette famille nourrissait le désir de contribuer au rétablissement de l’ancienne monarchie, avec une constance et une ardeur que les dangers et les persécutions ne purent ni ébranler ni refroidir. Le comité, rassemblé sous la direction de M. Taffard de Saint-Germain, avait long-temps délibéré sans rien conclure : celui qui le présidait, voyant que Wellington tenait en échec l’armée du duc de Dalmatie, et que Napoléon, pressé par la confédération européenne, ne pouvait disposer d’aucune force contre Bordeaux, déclara qu’un mouvement royaliste dans l’intérieur, influerait sur les déterminations des Souverains étrangers auxquels il était urgent de prouver que la dynastie des Bourbons avait encore des partisans. »
  2. Lettre du Duc d'Angoulême au chevalier François de Gombault, commandant des Volontaires royaux : « Monsieur le Chevalier de Gombault, le Roi m'a autorisé à vous informer, qu'il vous accorde la décoration d'un Brassard blanc au bras gauche, portant cette inscription : Bordeaux, 12 mars 1814. L'intention de Sa Majesté est de vous donner un témoignage authentique de la satisfaction qu'il éprouve de votre dévouement à sa personne et sa cause, ainsi que du courage et de la fermeté qui ont signalé votre conduite dans une circonstance qui honore les Bordelais et intéresse la France entière. Cette grâce s'étend à tous ceux qui m'ont escorté en armes à mon entrée à Bordeaux ledit jour ; ainsi, elle est acquise à ceux qui, à cette époque précise, étaient inscrits, avec un pareil dévouement, sur les listes des braves et fidèles Volontaires Royaux. Il m'est agréable, Monsieur, d'avoir à vous charger de cette distribution envers ceux qui peuvent y avoir droit. Vous en dresserez un état nominatif dont vous m'adresserez une expédition et vous en déposerez un double aux archives de l'Hôtel de Ville. Votre affectionné, Louis-Antoine, Bordeaux, le 17 Juillet 1814.
  3. Première lettre de nomination mentionnant l'attribution du Brassard : Paris, le 5 juin 1814. Je remplis dans ce moment-ci un devoir bien agréable, Monsieur, en vous faisant part, d'après les ordres de Monseigneur, d'une grâce que Son Altesse Royale vient d'obtenir des bontés du Roi, pour la Garde royale formée par les soins de M. Taffart de Saint-Germain. Sa Majesté daigne accorder à cette Garde fidèle la décoration du Lis, fixée à la boutonnière par un ruban blanc, et elle y a ajouté un Brassard au bras gauche, sur lequel il sera inscrit : BORDEAUX 12 Mars 1814. Vous voudrez bien transmettre cette honorable décision aux membres qui composaient effectivement la Garde royale le 12 mars dernier, et déterminer avec son commandant la forme et les dimensions du Brassard. J'ai l'honneur d'être avec la plus entière considération, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur. Le comte Étienne de Damas. »
  4. Lettre du Duc d'Angoulême à M. Taffart de Saint-Germain : « Monsieur Taffart de Saint-Germain, le Roi voulant donner à la Garde royale formée par vos soins, un témoignage authentique de la satisfaction qu'il éprouve de son dévouement à sa personne et à sa cause, ainsi que du courage qu'elle a manifesté dans une circonstance qui honore les Bordelais et intéresse la France entière, Sa Majesté lui a accordé la décoration du Lis et d'un Brassard blanc au bras gauche, portant cette inscription : Bordeaux, 12 Mars 1814. Cette grâce comprend tous ceux qui étaient inscrits sur les listes à ladite époque, ou qui ont continué à y faire le service avec un zèle qui ne s'est jamais démenti. Il m'est agréable de vous charger de cette distribution qui commencera par vous-même. Vous dresserez un état double de tous ceux qui composaient cette Garde du 12 Mars, vous m'en ferez passer une expédition et vous en déposerez un double aux archives de l'Hôtel de Ville pour y avoir recours en cas de besoin. Votre affectionné, Louis-Antoine. Bordeaux, le 17 Juillet 1814. »
  5. « [...] Elle est enfin, cette récompense, dans la glorieuse distinction que Votre Majesté a daigné nous accorder, et dont, sous ses yeux, nous nous parons pour la première fois. Symbole inappréciable, Sire, c'est l'ère de la France renaissante, c'est le chiffre de Louis le Désiré, c'est le ruban que nous envoya Mme la duchesse d'Angoulême, la nièce de votre sang et la fille de votre cœur, l'ange de la France comme vous en êtes le père. Ah ! Sire, Votre Majesté, concevra qu'une fois marqués de ce signe sacré nous ne puissions plus le quitter un instant. Si, dans sa forme actuelle, il appartient à l'appareil militaire, et doit rendre invincibles ceux qui le portent, vous permettrez que, dans le costume de paix nous le réunissions au lys, signe commun de ralliement pour tous les Français. Ainsi le sentiment universel se fortifiera de toutes les impressions locales : le lizeré vert de Bordeaux sera en accord avec le lizeré bleu de nos braves frères d'armes de Paris ; et selon la nature des temps, cette marque resplendissante de notre amour et de votre bonté devra briller alternativement parmi nous sur les bras qui vous servent et sur les cœurs qui vous aiment. » Louis XVIII répondit : « Je reçois avec plaisir l'expression des sentiments que vous me manifestez au nom des corps des Volontaires de Bordeaux. Je n'avais pas oublié l'accueil que je reçus dans votre ville il y a 37 ans. J'oublierai encore moins que les premiers instants de bonheur que j'ai éprouvés après de longues peines, c'est à votre ville que je les ai dus. J'accorde avec plaisir la demande que vous me faites. »
  6. Ordonnance du Roi du 10 février 1831 portant abrogation de celles qui ont créé des décorations à l'occasion ou à la suite des événemens de 1814 et de 1815, Bulletin des Lois - 1831 - 2e partie - n° 53 - Page 249 : « Paris, le 10 février 1831. Louis-Philippe, Roi des Français, à tous présens et à venir, Salut. Sur le rapport de notre garde des sceaux, ministre secrétaire d'État au département de la justice ; Notre Conseil entendu, Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit : Art. 1er. — Toutes ordonnances portant création de décorations établies à l'occasion ou à la suite des événemens de 1814 et de 1815 sont et demeurent abrogées. Art. 2. — Toutes autorisations collectives ou individuelles de porter des décorations de cette nature sont révoquées. Art. 3. — Toutes personnes qui, après la publication de la présente ordonnance, continueraient de porter ces décorations, seront poursuivies conformément aux lois. Art. 4. — Notre garde des sceaux, ministre secrétaire d'État au département de la justice, est chargé de l'exécution de la présente ordonnance, qui sera insérée au Bulletin des lois. Louis-Philippe. Par le Roi : Le garde des sceaux, ministre secrétaire d'État au département de la justice, Mérilhou. »

Références

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  1. a b et c Marc Champenois, « Décoration du Brassard de Bordeaux », sur france-phaleristique.com (consulté le ).
  2. François de Coustin, Louis XIX, duc d'Angoulême, Perrin, 2017
  3. a et b Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912, p.16
  4. Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912, p.35
  5. Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912, p.41
  6. Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912, p.46
  7. Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912, p.47
  8. Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912, p.68
  9. Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912, p.32
  10. Laurent Coste, Bordeaux et la restauration des Bourbons, In: "Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale", Tome 105, N°201, 1993. Bordeaux, XVIIIe-XIXe siècle : nouvelles approches, p.41, note 84.
  11. M. le comte de Marsy, La collection de décorations militaires françaises du musée d'artillerie, Dumoulin, Paris, 1880, p.184
  12. Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912, p.53
  13. Albert Mengeot, Le Brassard de Bordeaux 12 Mars 1814 Notes et Documents, Imprimerie Jules Bière, 1912, p.54
  14. Maxime Trigant de Latour,Les Trigant, souvenirs de famille : leurs alliances, notice sur beaucoup de familles de la noblesse et de la ci-devant haute bourgeoisie du Bordelais, Libournais, Périgord et Saintonge..., 1896, p.85
  15. Laurent Coste, Bordeaux et la restauration des Bourbons, In: "Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale", Tome 105, N°201, 1993. Bordeaux, XVIIIe-XIXe siècle : nouvelles approches, p.32

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