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Discussion:École navale

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Attention au francocentrage et à la pub

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Je relève la phrase suivante dans l'article : « De façon générale l'Ecole navale tisse des liens fort avec tous nos alliés, c'est aussi comme cela que l'on pourra réussir le pari de l'interopérabilité ! ». Il faut retenir que l'encyclopédie n'est pas française mais francophone et s'adresse à n'importe quelle personne comprenant le français, pas que les français. Il faut donc éviter des expressions comme "nos alliés" qui ne signifie pas la même chose pour un Québéquois ou un Camerounais.

D'autre part, les articles doivent être neutres. Il faut donc veiller :

  • à ne pas transformer les articles en pages de pub. Bannir une expression comme « Cette année 110 OE ont embarqué pour la GEAOM 2005-2006, profitez-en ! » ou un titre comme « L'Ecole navale ouverte sur le monde »
  • à ajouter les critiques comme les compliments, en citant les sources.
  • à sourcer précisément une phrase comme « et il sont souvent meilleurs que les américains ! » : sans source précise (rapport, article, livre...), cette phrase est à supprimer.

Tout cela n'est pas très grave car on peut le modifier facilement. Romain, tu peux lire les pages que je donne en lien pour te faire une idée et améliorer l'article. A bientôt, le Korrigan bla 18 mai 2006 à 19:20 (CEST)[répondre]

Si l'Ecole navale n'est pas ouverte sur le monde, je ne vois pas quelle autre institution le serait !... Ce n'est pas de la pub, mais une réalité qui fait parti intégrante du cursus de formation des officiers de marine. L'école d'application sur les 3 Jeanne d'Arc qui se sont succédé jusqu'en 2010 répondait à ce besoin et se perpétue plus modestement depuis par la Mission Jeanne d'Arc à bord d'un BPC classe Mistral et de la frégate Georges Leygues. Maurice47 (d) 30 juin 2012 à 01:13 (CEST)[répondre]

Est-ce que la formation franco-allemande, qui semble ne concerner que marginalement l'Ecole navale, n'est pas hors-sujet dans cet article, d'autant plus qu'un article spécifique est consacré à cette formation ? Apokrif (d) 29 juin 2009 à 23:12 (CEST)[répondre]

Il est devenu officier en 1960 par "la petite porte" selon la formule consacrée, étant issu de l'Ecole de maistrance en 1954 et non de l'école navale. Lanredec (d) 17 novembre 2010 à 15:44 (CET)[répondre]

Certes Eric Tabarly a commencé sa carrière par "la petite porte", (l' Ecole de maistrance) mais il est aussi issu de l'Ecole navale où il est devenu officier de marine en passant par la filière du CPEOM (Cours Préparatoire des Elèves Officiers de Marine), l'équivalant à l'époque de notre actuelle Ecole militaire de la flotte (EMF).
D'ailleurs s'il n'était pas issu de l'Ecole navale, il ne serait devenu officier de marine, mais officier des équipages de la flotte. (Officier d'zé, comme on disait autrefois).
Maurice47 (d) 21 juin 2012 à 21:01 (CEST)[répondre]

"Baille" et "Navale", "Bordaches" et "Navalais".

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J'ai ajouté un commentaire pour rectifier la confusion qui est souvent faîte par les journalistes et autres "pékins" (et même hélas aussi parfois par certains marins d'état incultes sur le patrimoine historique de leur armée d'appartenance...), entre "la Baille" et ses "Bordaches" qu'il ne faut pas confondre avec "Navale", appellation familière de l'ancienne "Ecole de santé navale" de Bordeaux et dont les élèves étaient les "Navalais", ou "la Navale", qui est surnom d'une ancienne compagnie française de marine marchande, la "Société navale des pétroles". Maurice47 (d) 1 juin 2011 à 23:17 (CEST)[répondre]

Illustration censée représenter le Borda ex-le Commerce de Paris

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Bonjour, je doute que cette illustration représente le Borda II, ex-le Commerce de Paris, qui a été rasé d'une batterie et est donc devenu un deux-ponts avant de devenir école flottante. Je pense que la gravure représente plutôt le Valmy. --Trois-Ponts! (discuter) 26 août 2013 à 13:26 (CEST)[répondre]

Historique des Borda successifs

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Le 19 octobre 2011 à 17:14 le contributeur Moreau Henri a instauré une modification relative à l’histoire de l’école navale et à ses origines. Ces dernières se seraient trouvées dans une supposée École d’application de la marine, ancêtre (?) de l’école navale.

Cette antériorité a conduit (le 20 octobre 2011 à 04:31) ce contributeur à modifier le titre de la section par l’ajout de cette mention.

J'ai donc été récemment amené à insérer dans le texte une interrogation sous la forme convenue de : [réf. souhaitée], avant de comprendre d'où provenait cette étrange appellation.

Il s'agit d'un amalgame de termes provoqué par l'irruption dans la succession des Borda de l'ancien vaisseau-école d'application Duguay-Trouin.

En effet, avant de tenir le rôle de bâtiment école de l'école navale, le Duguay-Trouin était le vaisseau école d'application des aspirants (ou des officiers) de marine. Il en a donc été tiré conclusion que le Duguay-Trouin servait précédemment à l'école "ancêtre" de l'école navale. Alors que les écoles qui l'ont précédée furent :

  • les compagnies des gardes-marines
  • le Collège royal de la Marine (ou l'École royale préparatoire à la Marine) d’Angoulême.

La supposée École d’application de la marine est donc une interprétation "libre" (mais erronée) de l'école d'application des aspirants.

Cette interprétation a aussi été favorisée par l'énumération (partiellement juste) des vaisseaux école de l'École navale successivement sous le nom de Borda.

Rappelons tout d'abord qu'il n'est pas nécessaire d'ajouter un quantième après le nom d'un bâtiment (repris d'un précédent). Par exemple le nom des Tourville, des Jeanne d'Arc, des Foch ou des Casabianca successifs ne comportent pas de complément chiffrés (Tourville IV ou Casabianca II), sauf s'il y a simultanéité d'existence. Or les Borda se sont succédé, mais n'ont pas existé simultanément. Les noms de Borda II, Borda III et Borda IV (ou pire Borda V) n'ont donc aucune existence valide. Tout au plus peut-on ajouter leur ordre de service : premier du nom, deuxième du nom…

Complication supplémentaire, le premier vaisseau école était L'Orion, qui n'a jamais été nommé Borda ! Or les différents articles de Wikipédia traitant du sujet lui attribuent de facto le nom de Borda I, puisque son remplaçant (ex-Commerce de Paris) est supposé s'appeler Borda II ! Dans la continuité, les suivants se trouvent donc affublés des chiffres III, IV, et même V, alors que (tout comme L'Orion) le Duguay-Trouin n'a jamais porté le nom de Borda. En revanche on peut en effet considérer que si L'Orion fut bien le premier vaisseau école de l'école navale, le Duguay-Trouin en fut le cinquième (et ultime) ; et si l'on tient vraiment à numéroter les Borda, on pourrait (symboliquement) attribuer à L'Orion le nom de Borda O et donc au Duguay-Trouin celui de Borda IV (mais en aucun cas Borda V[1], [2]).

Cette longue (et indigeste) réflexion n'est pas une spéculation gratuite et sans intérêt : plusieurs articles de Wikipédia (Valmy, L'Intrépide et d'autres sur lesquels figurent ces liens) se trouvent entachés d'erreurs difficiles à rectifier, car les titres semblent figés.

À moins d'en rédiger de nouveaux, avec les bons titres ? --Fondudaviation (discuter) 23 août 2015 à 19:36 (CEST)[répondre]

Questions résolues

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L'essentiel des questions posées dans cette section est résolu : le mystère de "l'école d'application de la marine" est élucidé (c'était une confusion entre le rôle du Duguay-Trouin comme école d'Application, avant de devenir "école navale" - une sorte d'inversion chronologique) et celui du renommage des articles sur les Borda II, Borda III et Borda IV (voire Borda V) est résolu.

--Fondudaviation (discuter) 7 septembre 2015 à 17:52 (CEST)[répondre]

rien n'est dit sur la présence des femmes dans cette école: depuis quand? quelle proportion? quels métiers? Andrée Satre (discuter) 14 novembre 2024 à 12:14 (CET)[répondre]

  1. Le supposé quantième ("II", "III" ou "IV"), parfois ajouté au nom de Borda dans les historiques des bâtiments école de l'école navale, est une erreur (ou une fantaisie) car inutile : de la même façon que les Jeanne d'Arc se succèdent dans la marine sans se superposer (Le porte-hélicoptères de 1961-2010 a vécu les trois premières années de son existence sous le nom de La Résolue tant que le croiseur de 1931-1964 était encore en service) il n'y a jamais eu en service dans la marine qu'un seul Borda à la fois.
  2. La présence simultanée dans la marine de plusieurs bâtiments portant le même nom, mais différenciés par un quantième est exceptionnelle ; on peut mentionner celle des ravitailleurs d'hydravions Pétrel N… (de 1931-1945) au nombre de 8 (Pétrel 1Pétrel 8), de quelques (rares) unités réquisitionnées pendant la guerre et dont les noms (civils) étaient conservés : les dragueurs auxiliaires Corsaire (AD.371) et Corsaire II (AD.391), Fezzara II (AD.231), Gladiateur IV (AD.385), Goéland X (AD.167), Marie Thérèse I (AD.224) et Marie Thérèse II (AD.149), entre autres, ainsi que des quatre patrouilleurs auxiliaires Air France I à Air France IV.
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