Garches
Garches | |||||
L'hôtel de ville, et le parc environnant. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Hauts-de-Seine | ||||
Arrondissement | Nanterre | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Paris Ouest La Défense |
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Maire Mandat |
Jeanne Bécart 2024-2026 |
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Code postal | 92380 | ||||
Code commune | 92033 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Garchois | ||||
Population municipale |
17 898 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 6 556 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 50′ 43″ nord, 2° 11′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 98 m Max. 164 m |
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Superficie | 2,73 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Cloud | ||||
Législatives | 7e circonscription des Hauts-de-Seine | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | garches.fr | ||||
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Garches (prononcé [ɡaʁʃ ] ; Écouter) est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France.
La commune est bourgeoise et résidentielle, comprenant de nombreux pavillons.
Garches est connue par de nombreux accidentés de la route, pour l'hôpital Raymond-Poincaré de réputation internationale, spécialisé en traumatologie, accidents de la route et en rééducation des personnes physiquement handicapées.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Garches est une commune de la banlieue ouest de Paris, à 11,9 kilomètres à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris[1].
La ville se situe à 6 km de la porte de Saint-Cloud et d'Auteuil.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Marnes-la-Coquette, Vaucresson, Rueil-Malmaison et Saint-Cloud.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est située sur le versant d'un coteau, entre le parc de Saint-Cloud et le bois de Saint-Cucufa.
La superficie de la commune est de 269 hectares ; Son altitude[2] est de 98 m pour le point le plus bas, à l'angle de la rue Porte-Jaune et CD 907 et 162 m pour le point le plus élevé, Cité Poincaré (allée de la Marche).
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune n'est drainée par aucune rivière.
L'aqueduc de l'Avre, qui alimente la ville de Paris en eau potable, inauguré en 1893, traverse le territoire communal.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 652 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Garches est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 273 ha, occupés à 54,7 % par des espaces verts, soit une moyenne de 82 m2 par habitant[réf. nécessaire].
Type d'occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 85,63 % | 233,80 |
Espace urbain non construit | 14,37 % | 39,23 |
Espace rural | 0,00 % | 0,00 |
Source : Iaurif[13] |
L’Insee découpe la commune en huit îlots regroupés pour l'information statistique (IRIS), soit Buzenval, La Verboise, Les Bures, Côte Saint-Louis, Mairie, Petit Garches, Porte-Jaune et Poincaré[14].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 8 513, alors qu'il était de 8 290 en 2015 et de 8 233 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 92 % étaient des résidences principales, 1,5 % des résidences secondaires et 6,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 23,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 74,2 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Garches en 2020 en comparaison avec celle des Hauts-de-Seine et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,5 %) inférieure à celle du département (3,9 %)[I 4] et à celle de la France entière (9,7 %)[I 5]. Concernant le statut d'occupation de ces logements, 57,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (58,7 % en 2015)[I 6], contre 43 % pour les Hauts-de-Seine[I 7]et 57,5 % pour la France entière[I 8].
Typologie | Garches[I 3] | Hauts-de-Seine[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 92 | 89,6 | 82,2 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,5 | 3,9 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,5 | 6,6 | 8,1 |
En 2019, la commune ne respecte pas les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de la loi SRU de 2000, qui lui font obligation de disposer d'au moins 25 % de logements sociaux par rapport à son parc de résidences principales. Compte tenu de son taux de 22,56 % en 2019, sensiblement stable depuis 2008, la commune est astreinte au paiement en 2020 d'une pénalité financière de 66 518,40 €[15].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par plusieurs routes départementales : la D 180, la D 180A, la D 180B et la D 907. La D 180 part du flanc sud-est de l'Hippodrome de Saint-Cloud, au niveau du carrefour entre les rues de Buzenval, de la Porte Jaune et du Camp Canadien, et aboutit sur l'avenue Napoléon Bonaparte à Rueil-Malmaison, non loin de l'échangeur du Duplex A86. La portion parcourue dans Garches se situe sur la rue de Buzenval, à cheval avec Saint-Cloud. Elle parcourt quelques centaines de mètres avant de basculer vers Rueil, à un rond-point où se détache la D 180B. La D 180A, quant à elle, se détache de la D 985 et court vers le sud sur la rue du Camp Canadien, puis passe sur la rue de la Porte Jaune pour ensuite se rattacher à la D 907, au sud de la commune. La D 180B est une courte antenne sur la rue du Colonel de Rochebrune et enfin la D 907, joignant la porte de Saint-Cloud à l'extrémité sud-ouest de Vaucresson, à la frontière entre les départements des Hauts-de-Seine et des Yvelines, traverse la partie sud de Garches d'est en ouest jusqu'au boulevard de la République, à proximité de l'hôpital Raymond Poincaré, la route passant sur la commune vaucressonnaise.
D'autre part, les axes routiers de Garches permettent de relier directement ou indirectement la commune aux villes avoisinantes, notamment celles de Saint-Cloud, Marnes-la-Coquette, Ville d'Avray, Vaucresson, Rueil-Malmaison, Boulogne-Billancourt et Suresnes.
L'axe vert majeur, piste cyclable départementale visant à relier l'ensemble des communes du département doit traverser l'ensemble de la commune, du parc de Saint-Cloud à Vaucresson. Bien que son tracé ait été adopté en 2017 par l'établissement public territorial Paris Ouest La Défense, la portion située sur la commune de Garches n'est pas réalisée, même partiellement[16].
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Garches est reliée de plusieurs façons au réseau de transport de l'Île-de-France :
- par la gare de Garches - Marnes-la-Coquette située sur la ligne L du Transilien ;
- par les lignes 9, 38, 105, 106 et 460 du Grand Versailles ;
- par les lignes 360, 426, 459 et 467 du réseau de bus RATP ;
- par la ligne 37 du réseau de bus Argenteuil - Boucles de Seine.
Garches met à la disposition des personnes à mobilité réduite un minibus : L'autre bus[17].
Toponymie
[modifier | modifier le code]C'est dans un texte écrit en 1063 qu'apparaît pour la première fois la commune, sous le nom de Garziacus[18], Gargiæ[18]. Dès le XIVe siècle, on trouve la forme actuelle Garches.
Ernest Nègre[19] suggère le nom d'homme germanique Waracus suivi du suffixe -as. Albert Dauzat et Charles Rostaing[20] y voient une variante du bien connu Guerche issu du francique *werki, ouvrage défensif.
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Des traces d'habitats préhistoriques des époques paléolithique et néolithique ont été relevées au début du XXe siècle dans une sablière[21].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Première mention du village en 1170.
L'église fondée par Robert de la Marche, fut, en 1297, la première dédiée à saint Louis, qui un an auparavant avait été canonisé[22].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Le territoire de Villeneuve-l'Étang, désormais appelé Marnes-la-Coquette, est séparé de Garches en 1702.
Accroissement du village au XVIIIe siècle, avec l'extension des vignobles.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Durant la guerre franco-allemande de 1870, le village est très endommagé lors du siège de Paris en 1870. Le , le général Trochu et ses hommes livrent en vain les batailles de Montretout-Garches-Buzenval, ce qui anéantit une partie de la ville[21],[23].
-
Ruine de l'église.
-
Baricade prissienne au pont de Garche.
-
Ruines de la ferme du château de la comtesse de Craon.
-
Fortifications au haras Lupin.
Arrivée du chemin de fer en 1884 et percement de la rue menant de la gare à l'église.
De nombreux lotissements sont aménagés dans la période 1875-1925[24].
-
Panorama de la commune.
-
Autre panorama dee la commune.
-
Vue générale.
-
Panorama de la Grande-rue.
-
Ancien relais de chasse de Charles X dans le parc de Saint-Cloud.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[25], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine et à son arrondissement de Nanterre après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton de Sèvres de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Hauts-de-Seine, la ville devient en 1967 le chef-lieu du canton de Garches[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Saint-Cloud
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription des Hauts-de-Seine.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Avec Saint-Cloud et Vaucresson, Garches était membre de la communauté d'agglomération Cœur de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[27].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Paris Ouest La Défense, qui succède à la communauté d'agglomération Cœur de Seine[28].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections les plus récentes
[modifier | modifier le code]Au premier tour des élections municipales de 2014 dans les Hauts-de-Seine, la liste UMP menée par le maire sortant Jacques Gautier obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 228 voix (82,35 %, 31 conseillers municipaux élus dont 13 communautaires), devançant très largement celle PS menée par Françoise Guyot, qui a recueilli 1 120 voix (17,64 %, 2 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 47,92 % des électeurs se sont abstenus[29].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans les Hauts-de-Seine[30], la liste LR-LREM-UDI-MoDem-AE de la maire sortante Jeanne Bécart — qui avait succédé en 2019 à Jacques Gautier après sa démission — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 189 voix (59,57 %, 27 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain, devançant très largement celles menées respectivement par[31] :
- Yves Menel (DVD-LR dissident, 1 461 voix, 27,29 %, 4 conseillers municipaux élus) ;
- Françoise Guyot (DVG-PS-EÉLV, 703 voix, 13,13 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 58,10 % des électeurs se sont abstenus.
Après des mois de tensions, de plaintes et des mouvements au sein du conseil municipal et la démission d'une partie des élus restant de la majorité municipale[32], des élections municipales partielles sont organisées en mars 2024, et, au second tour[33], la liste LR menée par la maire sortante Jeanne Bécart obtient 46,20 % des suffrages exprimés, devançant de 294 voix celle du DVD Yves Ménel, qui recueille 41,4 % des voix.
La troisième liste, PS, menée par Isabelle Le Madec, a obtenu 12,4 des voix loirs d'un scrutin où 54,6 % des électeurs se sont abstenus[34].
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de 33 membres dont le maire et les maire-adjoints[35].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Autres élections
[modifier | modifier le code]Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du , les Garchois ont très majoritairement voté pour la Constitution européenne, avec 72,46 % de Oui contre 27,54 % de Non avec un taux d’abstention de 25,01 % (France entière : Non à 54,67 % - Oui à 45,33 %)[45].
Lors du premier tour de l'élection présidentielle française de 2007, les quatre premiers candidats choisis par les électeurs de la commune sont Nicolas Sarkozy (49,78 % des suffrages exprimés), François Bayrou (21,24 %), Ségolène Royal (16,79 %) et Jean-Marie Le Pen (5,41 %).
Au second tour, le candidat élu Nicolas Sarkozy obtient 7 010 voix (70,02 %) et Ségolène Royal 3 002 voix (29,98 %), lors d'un scrutin où 12,98 % des électeurs se sont abstenus[46].
Lors du premier tour de l'élection présidentielle française de 2012, les quatre premiers candidats choisis par les électeurs de la commune sont Nicolas Sarkozy (49,38 % des suffrages exprimés), François Hollande (21,51 %), François Bayrou (11,43 %) et Marine Le Pen (8,14 %).
Au second tour, Nicolas Sarkozy recueille 6 574 voix (65,76 %) et le candidat élu François Hollande 3 423 voix (34,24 %) lors d'un scrutin où 16,03 % des électeurs se sont abstenus[47].
Lors du premier tour de l'élection présidentielle française de 2017, les quatre premiers candidats choisis par les électeurs de la commune sont François Fillon (42,42 %) des suffrages exprimés), Emmanuel Macron (31,27 %), Jean-Luc Mélenchon (9,59 %) et Marine Le Pen 7,15 %.
Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient 7 770 voix (85,21 %) et Marine Le Pen 1349 voix (14,79 %), lors d'un scrutin où 21,40 % des électeurs se sont abstenus[48].
Lors du premier tour de l'élection présidentielle française de 2022, les quatre premiers candidats choisis par les électeurs de la commune sont Emmanuel Macron (45,84 % des suffrages exprimés), Jean-Luc Mélenchon (12,95 %), Valérie Pécresse (11,24 %) et Marine Le Pen (9,56 %).
Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient 7 407 voix (79,55 %) et Marine Le Pen 1 904 voix (20,45 %), lors d'un scrutin où 23,13 % des électeurs se sont abstenus[49].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Au 1er juillet 2016, Garches est jumelée avec :
- Gröbenzell (Allemagne) depuis 1994[50].
La cérémonie officielle de jumelage avec cette ville allemande située à une vingtaine de kilomètres de Munich s'est déroulée le 18 septembre 1994[51].
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Garches est située dans l'académie de Versailles.
Établissements scolaires
[modifier | modifier le code]La ville administre trois écoles maternelles : Pasteur-Maternelle, Saint-Exupéry ; ... et trois écoles élémentaires communales : Pasteur-A, Pasteur-B, et Gaston-Ramon. Elle dispose par ailleurs d'une école privée catholique : l'école Jean-Paul-II. Le département gère un collège, le collège Henri-Bergson.
Santé
[modifier | modifier le code]Le 18 janvier 2021, la municipalité a obtenu l'accord de la préfecture des Hauts-de-Seine pour accueillir l'un des 12 centres de vaccination[52] initialement prévus dans les villes du département, dans le cadre de la pandémie de Covid-19. Rapidement, de nombreux professionnels de santé (infirmières et médecins) se sont mobilisés pour assurer la vaccination du plus grand nombre, en partenariat avec les sections locales de la Croix-Rouge[53] et de la Protection civile.
La ville a également été pilote[54] pour la vaccination à domicile des personnes handicapées et / ou isolées qui se trouvaient dans l'incapacité de faire le déplacement jusqu'au centre de vaccination installé au sein de la médiathèque Jacques-Gautier[55].
- L’hôpital Raymond-Poincaré, le centre national de traitement des séquelles de la polio.
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]Elle dépend pour la police nationale, du commissariat de Saint-Cloud qui couvre les communes de Garches, Marnes-la-Coquette, Saint-Cloud et Vaucresson.
Garches relève du tribunal d'instance[56] ainsi que du tribunal de police de Boulogne-Billancourt[57].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[58],[Note 4].
En 2021, la commune comptait 17 898 habitants[Note 5], en évolution de +0,77 % par rapport à 2015 (Hauts-de-Seine : +2,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 20,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 8 384 hommes pour 9 378 femmes, soit un taux de 52,80 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Au , le nombre de ménages était de 17959, en augmentation de 363 par rapport à 1999. La part des ménages dont la personne de référence est active est de 71 %, et le nombre moyen de personnes par ménage était de 2,4[62].[Passage à actualiser]
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]JEMA 2021
[modifier | modifier le code]En 2021, pour la première fois, la ville de Garches participe aux Journées européennes des métiers d'arts, les 10 et 11 avril. Intitulé « Reprendre la main : de l’art à l’artisanat, la création en métiers », le projet de la ville permet au public de découvrir sur le site municipal et les réseaux sociaux le savoir-faire d’artisans d’art garchois (ébéniste, peintre en décoration, restauratrice de tableaux…) mais aussi le travail des élèves et des professeurs de cordonnerie / botterie de l'EREA Jean-Monnet, tout en s’informant des formations aux métiers de l’artisanat.
Concours photo sur le patrimoine
[modifier | modifier le code]En 2014, le Collectif Coteaux de Seine associations qui regroupe 11 associations des 5 communes : Garches mais aussi Marnes-la-Coquette, Saint-Cloud, Vaucresson et Ville-d'Avray organise un concours photo jusqu'au 10 janvier 2015 pour faire découvrir la richesse du patrimoine local ; patrimoine bâti et naturel
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]En 2010, le club EPAM, par l'intermédiaire des patineurs Pierre Mériel et Prescillia Henneguelle, ramène des championnats d'Europe et du championnat du monde, en catégorie Junior, la première médaille d'or française en couple danse.
La municipalité a mis en place des séances de sport gratuites et accessibles à tous sans inscription, les samedis matin. Initialement, ces séances se déroulaient dans le parc Jacques-Chirac, situé devant la mairie. Elles se déroulent désormais sur le stade Léo-Lagrange.
Cultes
[modifier | modifier le code]Les Garchois disposent de lieux de culte catholique.
Depuis janvier 2010, les fidèles catholiques de Garches relèvent du doyenné des Collines, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[63].
Au sein de ce doyenné, le lieu de culte catholique est l'église Saint-Louis qui relève de la paroisse Saint-Louis[64],[65].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 47 599 €, ce qui plaçait Garches au 490e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[66].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[67].
Intitulé | Ensemble classé | Ensemble inscrit |
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Ancien hospice Brézin : ensemble des bâtiments et chapelle | x | |
Intitulé | Monument classé | Monument inscrit |
Villa de M. Nubar par A. Perret, 75 rue du 19-Janvier | x | |
Intitulé | Site classé | Site inscrit |
Jardins et laboratoires du Docteur-Debat | x | |
Bois de Fausses-Reposes | x | |
Domaine de Saint-Cloud avec le parc de Villeneuve-l'Etang | x | |
Hippodrome de Saint-Cloud | x | |
Source : Iaurif[68] |
- L'église Saint-Louis :
La construction de cette église a démarré dès la canonisation de saint Louis en 1298, comme en témoigne la plaque commémorative à l'entrée de l'église[69]. C’est la première église en France à être consacrée à saint Louis[70]. L'église d'origine, construite en 1209 a été partiellement détruite en 1871 lors de la bataille de Buzenval. Reconstruite en 1876 par l'architecte Blondel et l'entrepreneur Tillet, c’est l’église que l’on voit aujourd’hui. Le cimetière qui lui était accolé fut déplacé en 1930. La restauration de l’église a débuté en 1980 par les vitraux du 19e puis en 1983 par la restauration de l’orgue d’origine, totalement rénové et agrandi. La flèche a été reconstruite en 1988, la croix a été bénie en 1989, le tympan sculpté en 1990, la rénovation de l’intérieur en 1995 suivie de celle des façades[71]. Une cloche, datée de 1787, a été classée à l'inventaire des monuments historiques le 27 avril 1944[72].
- La maison de Louis Pasteur :
En 1884, Louis Pasteur utilisa une propriété de Villeneuve-l'Étang pour ses recherches. Aujourd'hui, cette propriété est une annexe de l'Institut Pasteur et se trouve sur le territoire voisin de la commune de Marnes-la-Coquette.
- Monument commémoratif des combats de 1871 :
Le nord de Garches a été marqué par les combats du 19 janvier 1871, lorsque les Parisiens assiégés ont tenté de forcer le blocus allemand pour rejoindre les troupes françaises de Versailles. Des monuments commémorent cet évènement, rue du 19-Janvier et rue du Colonel-de-Rochebrune.
- L'école l'école primaire Pasteur-B :
Ses bâtiments ont été construits en 1907 par L. Larlat, architecte communal et par Beaudoin, entrepreneur, et surélevés d'un étage en 1908 ; les préaux ont été supprimés en 1930[73].
- L'ancien hospice Brézin :
Les bâtiments de l'école primaire Pasteur-B ont été construits en 1836. Les façades et toitures de l'ensemble des bâtiments ainsi que la chapelle ont été classées à l'inventaire des monuments historiques le 28 septembre 1978[74].
Il convient de ne pas confondre ces bâtiments avec ceux de l'hospice de la Reconnaissance, construit entre 1837 et 1846 par Pierre Gauthier, prix de Rome, sur un terrain et avec des fonds légués à l'Assistance publique par Michel Brézin. L'hospice est transformé en hôpital et de 1932 à 1936 puis l'hôpital Raymond-Poincaré est construit à l'arrière et à l'est de l'hospice[75]. Le nom du président de la République Raymond Poincaré, président du 18 février 1913 au 18 février 1920 et président du Conseil des ministres après cette date, décédé le 15 octobre 1934 à Paris 16e lui a été donné.
- Le parc du domaine des Quatre-Vents :
Ce parc, situé 29 bis rue du 19-Janvier, présente des jardins remarquables[76].
- Fondation Casimir Davaine :
Cette maison, situé 23 avenue de Brétigny, a été construite entre 1870 et 1880 pour Casimir Joseph Davaine (1812-1882), biologiste émérite, précurseur de Pasteur. Elle a été léguée en 1891 par la veuve de Davaine à l'Assistance publique pour y créer un centre de convalescence pour filles entre 4 et 12 ans de toute religion[77].
- Cité ouvrière du Docteur-Debat :
Cette cité, située 151-153 rue de Buzenval, a été construite à proximité du laboratoire Debat de 1947 à 1956 par l'architecte René Crevel. Elle comprend sur deux hectares une salle des fêtes, une garderie d'enfants, un tennis et une vingtaine de maisons pour loger cinquante familles du personnel du laboratoire. Certaines maisons sont ornées de fresques exécutées en 1954 par Clément Serveau[78].
- Cimetière de Garches
- L'Ange volant, villa de style italien de Gio Ponti.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à la croix pattée de gueules cantonnée en chef à dextre d'une feuille de vigne de sable, en chef à senestre et en pointe à dextre d'un mur plein maçonné de sable, en pointe à senestre d'une feuille de chêne de sable, sur le tout d'azur à la fleur de lys d'or. |
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Détails | L'azur à la fleur de lys d'or fait référence à saint Louis, roi de France, et patron de la paroisse de Garches. La croix pattée de gueules est une référence aux croisades auxquelles il a participé. Les deux murs maçonnés de sable font référence aux deux briqueteries ayant été établies sur la ville. La feuille de vigne rappelle les nombreuses vignes présentes au XIXe siècle et la feuille de chêne rappelle les forêts des alentours. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Catherine Sart, Garches, arrêt sur images, 1999.
- Collectif, Saint-Louis en toute confidence, plaquette consacrée à l'église Saint-Louis, éditée par la société historique de Garches, janvier 2007, 100 pages[79].
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Site de la mairie.
- « Dossier complet : Commune de Garches (92033) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- Résumé statistique de Garches sur le site de l'Insee
- « Garches » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Garches ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Garches - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Garches - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans les Hauts-de-Seine - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 en France - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Garches - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans les Hauts-de-Seine - Section LOG T7 » (consulté le )
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 en France - Section LOG T7 » (consulté le )
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Calcul de l'orthodromie entre Garches et Paris »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
- « Notre ville », sur site de la ville de Garches (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Garches et Toussus-le-Noble », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 8 septembre 2009
- « Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 – Garches », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Toponymie générale de la France, Librairie Droz 1991.
- Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, édition Larousse 1968.
- Découvrir les Hauts-de-Seine, p. 40, Jean-Michel Dechambre, éditions Horvath, 1980
- Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti
- « Commémoration de la Bataille de Buzenval », garches.fr, 19 janvier 2021.
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- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- Décret n° 2015-1658 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Nanterre sur Légifrance.
- « Hauts-de-Seine (92) - Garches », Élections municipales de 2014, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- David Livois, « Municipales à Garches : l’héritier déchu rêve de revanche face à la maire sortante : Jeanne Bécart, la maire sortante, et Yves Menel, se disputent les voix de droite face à la candidate de gauche Françoise Guyot. Le second se voyait déjà maire, il y a un an », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « Il y a de la revanche dans l'air à Garches. Moins d'un an après la succession rocambolesque du maire démissionnaire Jacques Gautier (LR), marquée par l'élection surprise de sa deuxième adjointe Jeanne Bécart (LR), le conseiller départemental Yves Menel (SE) rêve de laver l'affront. Car c'est à l'ancien premier adjoint au maire que le fauteuil semblait promis, en avril dernier (...) Têtes de liste : Jeanne Bécart (LR, soutien de LREM, UDI et MoDem) ; Yves Menel (DVD) ; Françoise Guyot (DVG, soutenue par EELV ».
- « Hauts-de-Seine (92) - Garches », Élections municipales de 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- Hendrik Delaire, « Garches : les élus de la majorité démissionnent, les électeurs retourneront aux urnes pour choisir un maire : Les derniers conseillers fidèles à Jeanne Bécart (LR) ont présenté en bloc leur démission afin de déclencher une nouvelle élection municipale. La maire, qui a vu sa majorité voler en éclats le mois dernier sur fond de plaintes à l’encontre de la directrice générale des services pour harcèlement moral, entend ainsi reprendre la main et garder son fauteuil », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ) « Ces derniers fidèles à la maire ont démissionné en bloc afin de provoquer ce scrutin anticipé, un peu plus d’un mois après la défection de cinq élus de sa majorité, dont son premier adjoint Bertrand Oliviero sur fond de plaintes contre la directrice générale des services (DGS) pour harcèlement moral et détournement présumés des images de vidéosurveillance à l’encontre d’au moins deux agents municipaux ».
- Hendrik Delaire, « Municipale partielle à Garches : au premier tour, la maire sortante Jeanne Bécart devant… d’une courte tête : Candidate à sa succession lors d’élections municipales provoquées par sa propre majorité, Jeanne Bécart (LR) ne devance son principal concurrent Yves Menel (DVD) que de 177 voix », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ) « Si la maire sortante candidate à sa propre réélection vire en tête avec 35 % des suffrages exprimés, elle n’a qu’une très courte avance sur son principal concurrent Yves Menel (DVD), qu’elle ne devance que de 177 voix et dont la liste « Unis pour Garches » totalise 32 % des voix, dans un scrutin marqué par une abstention de 57,73 % ».
- Anne-Sophie Damecour, « Municipale partielle à Garches : Jeanne Bécart réélue après des semaines de tension : Après un premier tour très serré le 17 mars entre la maire sortante (LR) et son opposant Yves Ménel (DVD), l’issue du scrutin a finalement penché du côté de la première, qui remporte ce dimanche la triangulaire avec 46,20 % des suffrages », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
- « Les maires de Garches », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Les maires élus ou réélus », Le Monde, (lire en ligne).
- « Élections municipales - Hauts-de-Seine », Le Monde, (lire en ligne) « Quatre mairies, sur les trente-six des Hauts-de-Seine, changent de maire à l'issue de ces élections : Garches, où M. Jacques Gauthier (RPR), déjà vainqueur des cantonales en 1988, ravit la mairie à son concurrent de droite, M. Yves Bodin (UDF), victime d'une mauvaise image personnelle ».
- Estelle Dautry, « Municipales 2020: le maire (LR) de Garches Jacques Gautier démissionne après 30 ans de mandat : Il est heureux « comme Line Renaud », ne « regrette rien » mais estime qu’il a fait son temps : Jacques Gautier, élu maire de Garches depuis 1989, rend son écharpe », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « L’un des plus anciens maires des Hauts-de-Seine, Jacques Gautier, pas encore 73 ans, a décidé de passer la main. En attendant samedi prochain la réunion du conseil municipal qui élira son successeur jusqu’en mars 2020, le premier magistrat de la petite ville de Garches (18 000 habitants) se livre en toute décontraction ».
- « Élections sénatoriales : les biographies des élus », Le Monde, (lire en ligne) « Jacques Gautier, 65 ans, sénateur sortant, écarté de la liste UMP officielle, le maire de Garches mène une liste dissidente. Ce qui lui vaut d'avoir été suspendu de son parti. Entré au Sénat en 2007 en remplacement de Roger Karoutchi nommé au gouvernement, il a été élu conseiller général en 1993. Il en a été premier vice-président de 2004 à 2007. Il préside l'Association des maires des Hauts-de-Seine ».
- « Démission du maire de Garches », Le Monde, (lire en ligne) « Ce " réaménagement technique " voulu par le maire de Garches va lui permettre de ne pas reconduire dans leur fonction trois de ses adjoints qui ont déjà perdu leur délégation, Isabelle du Saillant (UDF), sœur de Valéry Giscard d'Estaing, qui était chargée de la culture, Bernard Bornette (RPR), adjoint aux finances, et Guy de Murat, qui s'était vu confier le secteur du logement ».
- Anissa Hammadi, « Jeanne Bécart élue maire de Garches à la surprise générale : Lors de l’élection du nouveau maire samedi matin, le magistrat (LR) démissionnaire, Jacques Gautier, avait désigné son successeur, Yves Menel. Mais c’était sans compter la candidature de son adjointe à la culture », Le Parisien, édition des Hauts de Seine, (lire en ligne, consulté le ).
- « Conseil territorial du 25 juin », Actualités & news, sur parisouestladefense.fr, (consulté le ).
- Hendrik Delaire, « Garches : Jeanne Bécart retrouve son écharpe de maire après « une campagne d’une violence inédite » : Après des mois de tension dans la petite commune huppée des Hauts-de-Seine, la maire sortante Jeanne Bécart (LR) a conservé son fauteuil à l’issue des municipales partielles. Sans surprise, le conseil municipal l’a investie officiellement ce vendredi », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ) « Ce vendredi 29 mars, la maire sortante de Garches (Hauts-de-Seine) a été réélue sans surprise à la majorité de 24 voix lors du conseil municipal d’installation et conservera son fauteuil pour deux années supplémentaires ».
- « Scrutin du 29 mai 2005 sur la constitution européenne - Antony », sur ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « HAUTS DE SEINE (92) -- Garches (résultats officiels) », Élection présidentielle de 2007, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Garches (92033) », (consulté le ).
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- « Garches », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 8 septembre 2009
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- Notice no IA00048601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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- Notice no IA00048565, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00088109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00048572, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA92000460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00059442, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00048574, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Saint-Louis en toute confidence », sur site de la ville de Garches, (consulté le ).