Groupe Droite républicaine
Groupe Droite républicaine | |
Logo du groupe parlementaire de la Droite Républicaine | |
Chambre | Assemblée nationale |
---|---|
Législature(s) | XIIe, XIIIe, XIVe, XVe, XVIe et XVIIe (Cinquième République) |
Fondation | |
Fusion de | Groupe Rassemblement pour la République Groupe Union pour la démocratie française |
Ancien(s) nom(s) | Groupe de l'Union pour la majorité présidentielle Groupe de l'Union pour un mouvement populaire Groupe Les Républicains |
Président | Laurent Wauquiez |
Secrétaire | Sylvie Bonnet |
Vice-présidents | Antoine Vermorel-Marques Justine Gruet Ian Boucard |
Porte-paroles | Émilie Bonnivard Anne-Laure Blin Philippe Gosselin |
Partis membres | Les Républicains Soyons libres Oser la France Nouvelle Énergie Nous France |
Représentation | 47 / 577 |
Positionnement | Droite[1],[2],[3],[4] |
Idéologie | Conservatisme[5],[6],[7],[8],[9],[10] Gaullisme[11],[12],[13],[14],[15],[16] Opposition à l'immigration[17],[18],[19],[20] |
Site Web | www.deputes-les-republicains.fr |
modifier |
Le groupe Droite républicaine (DR[21]) est un groupe parlementaire français de droite à l'Assemblée nationale, composé majoritairement de députés membres du parti Les Républicains, anciennement UMP.
Il est créé en juin 2002 sous le nom de groupe de l'Union pour la majorité présidentielle (UMP), puis groupe de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) entre 2003 et 2015, groupe Les Républicains (LR) entre 2015 et 2024, avant de devenir le groupe Droite républicaine (DR) à la suite des élections législatives anticipées de 2024.
Le groupe est créé par la fusion du groupe Rassemblement pour la République (gaulliste) avec les députés libéraux de Démocratie libérale et d'une majorité des députés centristes de l'Union pour la démocratie française (UDF).
Historique
[modifier | modifier le code]XIIe législature (2002-2007)
[modifier | modifier le code]Le groupe est constitué à l'Assemblée nationale au début de la XIIe législature de la Cinquième République le sous l'appellation « Union pour la majorité présidentielle », avant de prendre le nom du nouveau parti Union pour un mouvement populaire le .
Il succède aux groupes Rassemblement pour la République (RPR) et Démocratie libérale et indépendants (DLI) de la précédente législature, tout en rassemblant une grande partie des députés qui siégeaient jusque-là au groupe de l'Union pour la démocratie française (UDF).
Parti | Députés | |
---|---|---|
Rassemblement pour la République (RPR) | 214 | |
ex-Union pour la démocratie française (ex-UDF) | 64 | |
Démocratie libérale (DL) | 63 | |
Divers droite (DVD) | 10 | |
Parti radical valoisien (PRV) | 9 | |
Rassemblement pour la France (RPF) | 4 | |
Forum des républicains sociaux (FRS) | 1 | |
Total | 365 |
Il est présidé par Jacques Barrot (ex-UDF) jusqu'en mai 2004, remplacé par Bernard Accoyer jusqu'à la fin de la législature.
XIIIe législature (2007-2012)
[modifier | modifier le code]Après les élections législatives de 2007, il est reformé le .
Il rassemble les élus :
- de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), devenue en Les Républicains (LR) ;
- du Parti chrétien-démocrate (PCD) (jusqu'en ) ;
- du Centre national des indépendants et paysans (CNIP) (jusqu'en ) ;
- de députés divers droite ;
- du Parti radical (jusqu'en pour une partie des députés).
Groupe majoritaire, il est présidé par Jean-François Copé de juin 2007 à novembre 2010 puis par Christian Jacob à partir de 2010.
Candidat | Circonscription | 1er tour | 2e tour | |||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | |||
Christian Jacob | Quatrième circonscription de Seine-et-Marne | 151 | 48,71 | 182 | 62,54 | |
Jean Leonetti | Septième circonscription des Alpes-Maritimes | 84 | 27,10 | 109 | 37,46 | |
Hervé Gaymard | Deuxième circonscription de la Savoie | 47 | 15,16 | |||
Nicolas Forissier | Deuxième circonscription de l'Indre | 28 | 9,03 | |||
Votants | 310 | 101 |
Au , il compte 307 membres et sept apparentés[22].
XIVe législature (2012-2017)
[modifier | modifier le code]Il est à nouveau reformé le après les élections législatives de juin 2012
À l'ouverture de la XIVe législature, le groupe, désormais dans l'opposition parlementaire, comprend 185 membres et 11 apparentés[23]. Christian Jacob est reconduit à sa présidence.
Le , 43 députés UMP créent une Amicale gaulliste de l'Assemblée nationale afin de « nourrir la réflexion » lors du congrès de l'UMP de [24].
Le , François Fillon fonde, avec 67 députés, un nouveau groupe, le Rassemblement-UMP, en attendant que le président contesté de l'UMP, Jean-François Copé, organise une nouvelle élection pour la présidence du parti [25],[26]. Le groupe R-UMP compte, au , 69 membres et deux apparentés[27]. Ce groupe est dissous le à la suite de la conclusion d'un accord entre copéistes et fillonistes.
En , après révélé des liens importants du groupe avec Bygmalion, le journal en ligne Mediapart révèle que le Groupe UMP a accordé un prêt de 3 millions d'euros au parti UMP alors qu'il est essentiellement financé par une dotation de l’Assemblée nationale (3 millions d’euros par an pour le Groupe UMP) qui est exclusivement destinée à « assurer leur fonctionnement[28] »[29].
Le , le groupe UMP est renommé groupe « Les Républicains », suivant le changement de nom du parti.
XVe législature (2017-2022)
[modifier | modifier le code]Après les élections législatives de 2017, seuls 112 députés LR sont élus, ce total comprenant aussi des investitures LR-UDI, ce qui constitue un « revers historique »[30], soit moins que le plancher historique de 158 des élections de 1981[31]. Le les « constructifs » ne souhaitent pas rejoindre le groupe et créent, avec les élus UDI, le groupe Les Constructifs : républicains, UDI, indépendants. Le groupe LR compte donc 100 députés à l'Assemblée nationale, dont 95 élus Les Républicains et cinq apparentés divers droite, ils sont qualifiés de « Républicains historiques ». Son président, Christian Jacob, réélu le face à Damien Abad, obtient 62 voix à 32 pour le second.
Candidat | Circonscription | 1er tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | |||||
Christian Jacob | Quatrième circonscription de Seine-et-Marne | 62 | 65,96 | |||
Damien Abad | Cinquième circonscription de l'Ain | 32 | 34,04 | |||
Votants | 94 |
Le , le candidat LR à la présidence de l'Assemblée nationale, Jean-Charles Taugourdeau, recueille 94 voix[32]. Lors du vote de confiance au gouvernement Philippe II, 23 députés votent contre la confiance, 75 s'abstiennent[33]. Les députés du groupe LR présentent en moyenne les revenus annuels les plus élevés des groupes parlementaires[34]. Après un an de législature, le groupe LR est le groupe le moins présent aux votes de l'Assemblée avec un taux de 18 %, proche de celui du groupe Nouvelle gauche (19 %)[35].
Damien Abad est élu président du groupe le . Contexte souligne alors que « l’élection s’est faite avant tout sur les personnalités, et pas sur une ligne politique », précisant que selon tous les députés LR interrogés, « les anciens clivages entre « sarkozystes », « fillonistes » et « juppéistes » n’ont plus cours dans le groupe »[36]. Après une période d'« ambiguïté » sur son positionnement politique pendant l'élection présidentielle de 2022, Damien Abad quitte la présidence du groupe le et se met « en congés » de son parti – l'intérim de la présidence est assuré par Virginie Duby-Muller[37].
Candidat | Circonscription | 1er tour | 2e tour | |||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | |||
Damien Abad | Cinquième circonscription de l'Ain | 34 | 32,69 | 64 | 63,37 | |
Olivier Marleix | Deuxième circonscription d'Eure-et-Loir | 20 | 19,23 | 37 | 36,63 | |
Michèle Tabarot | Neuvième circonscription des Alpes-Maritimes | 17 | 16,35 | |||
Daniel Fasquelle | Quatrième circonscription du Pas-de-Calais | 14 | 13,46 | |||
Véronique Louwagie | Deuxième circonscription de l'Orne | 12 | 11,54 | |||
Philippe Gosselin | Première circonscription de la Manche | 7 | 6,73 | |||
Votants | 104 | 101 |
XVIe législature (2022-2024)
[modifier | modifier le code]À la suite des élections législatives de 2022, Olivier Marleix est élu président du groupe face à Julien Dive le [38]. Si son élection semble consacrer la victoire des adversaires d'un « pacte de gouvernement » avec LREM, Le Monde observe que « depuis le début de la législature, les députés LR apparaissent pourtant comme de solides appuis pour l’exécutif, désormais contraint de trouver alliés et compromis[39]. » Selon L'Humanité, les députés LR votent régulièrement les textes présentés par le gouvernement tout en poussant en faveur de plus de « libéralisme économique »[40].
Candidat | Circonscription | 1er tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | |||||
Olivier Marleix | Deuxième circonscription d'Eure-et-Loir | 40 | 66,67 | |||
Julien Dive | Deuxième circonscription de l'Aisne | 20 | 33,33 | |||
Votants | 60 |
XVIIe législature (depuis 2024)
[modifier | modifier le code]Le groupe est renommé La Droite Républicaine, sous la volonté du nouveau président Laurent Wauquiez[41].
Composition
[modifier | modifier le code]Effectifs et dénominations
[modifier | modifier le code]Législature | Année | Nom | Nombre de membres |
Nombre d’apparentés |
Nombre de députés |
Évolution | Pourcentage |
---|---|---|---|---|---|---|---|
XIIe | 2002 | Union pour la majorité présidentielle | 356 | 9 | 365 | 63,26 % | |
2003 | Union pour un mouvement populaire | ||||||
XIIIe | 2007 | 314 | 6 | 320 | 45 | 55,46 % | |
XIVe | 2012 | 185 | 11 | 196 | 124 | 33,97 % | |
2015 | Les Républicains | ||||||
XVe | 2017 | 95 | 5 | 100 | 96 | 17,33 % | |
XVIe | 2022 | 59 | 3 | 62 | 38 | 10,75 % | |
XVIIe | 2024 | Droite républicaine | 41 | 6 | 47 | 15 | 8,15 % |
XVIIe législature
[modifier | modifier le code]Membres
[modifier | modifier le code]Apparentés
[modifier | modifier le code]Répartition partisane
[modifier | modifier le code]Parti | Nombre | |
---|---|---|
Les Républicains | 35 | |
Les Républicains - Soyons libres | 4 | |
Divers droite | 3 | |
Les Républicains - Oser la France | 3 | |
Les Républicains - Nous France | 1 | |
Les Républicains - Nouvelle Énergie | 1 |
XVIe législature
[modifier | modifier le code]Membres
[modifier | modifier le code]Apparentés
[modifier | modifier le code]Nom | Parti | Circonscription | |
---|---|---|---|
Jean-Luc Bourgeaux | DVD | 7e circonscription d'Ille-et-Vilaine | |
Fabrice Brun | LR | 3e circonscription de l'Ardèche | |
Pierre Cordier | LR | 2e circonscription des Ardennes | |
Meyer Habib | UDI | 8ème circonscription des Français établis hors de France |
Répartition partisane
[modifier | modifier le code]Parti | Nombre | |
---|---|---|
Les Républicains | 50 | |
Les Républicains - Oser la France | 5 | |
Les Républicains - Soyons libres | 2 | |
Les Républicains - Nous France | 2 | |
Union des démocrates et indépendants - Les Républicains | 1 | |
Divers droite | 1 |
Députés ayant quitté le groupe en cours de mandat
[modifier | modifier le code]- Dino Cinieri, en novembre 2023 pour cumul de mandats. Député de la Loire, il devient vice-président du Parc naturel régional du Pilat le [42]. Il est remplacé par sa suppléante, Sylvie Bonnet, le 1er décembre suivant.
- Alexandre Vincendet, en mars 2024 en raison de son exclusion du groupe. Député du Rhône, jugé trop proche de l'ancien premier ministre Édouard Philippe, le bureau exécutif de LR puis les députés du groupe votent son exclusion[43]. Il rejoint ensuite le groupe Horizons[43].
XVe législature
[modifier | modifier le code]Membres
[modifier | modifier le code]Apparentés
[modifier | modifier le code]Députés ayant quitté le groupe en cours de mandat
[modifier | modifier le code]- Jean-François Parigi
- Arnaud Viala
- Olivier Dassault (LR), élu dans la 1re circonscription de l'Oise, mort le [44].
- Claude Goasguen (LR), élu dans la 14e circonscription de Paris, mort le [45].
- Patrice Verchère
- Laurent Furst
- Éric Straumann, député LR de la 1re circonscription du Haut-Rhin, démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie de Colmar ; il est remplacé par Yves Hemedinger ;
- Jean-Charles Taugourdeau, député LR de la 3e circonscription de Maine-et-Loire, démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie de Beaufort-en-Anjou ; il est remplacé par Anne-Laure Blin, dont il devient le suppléant ;
- Jean-Louis Masson, député LR de la 3e circonscription du Var, démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie de La Garde. Il est remplacé par Édith Audibert ;
- Franck Marlin, député LR de la 2e circonscription de l'Essonne, démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie d'Étampes. Il est remplacé par Bernard Bouley ;
- Daniel Fasquelle, député LR de la 4e circonscription du Pas-de-Calais, démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie du Touquet-Paris-Plage ;
- Valérie Boyer, député LR de la 1re circonscription des Bouches-du-Rhône, démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection comme sénatrice :
- Guillaume Peltier, député LR de la deuxième circonscription de Loir-et-Cher, exclu le du groupe ainsi que du parti à la suite de son ralliement à Éric Zemmour lors de l'élection présidentielle de 2022[46].
- Éric Woerth, député LR de la quatrième circonscription de l'Oise, quitte le groupe à la suite de son ralliement à Emmanuel Macron lors de l'élection présidentielle de 2022[47].
- Robin Reda, Jean-Carles Grelier, Constance Le Grip et Marine Brenier se présentent aux élections légistlatives 2022 investis par la coalition de la majorité présidentielle Ensemble[48]. Damien Abad quitte la présidence du groupe le et se met « en congés » de LR[37], avant de finir par rejoindre le gouvernement le 20 mai.
XIVe législature
[modifier | modifier le code]Membres
[modifier | modifier le code]Organisation
[modifier | modifier le code]Présidents
[modifier | modifier le code]Portrait | Nom | Dates du mandat | Notes | |
---|---|---|---|---|
Jacques Barrot | Député de la Haute-Loire, il devient le premier président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale en 2002. Il démissionne de son mandat de député en 2004. | |||
Bernard Accoyer | Député de la Haute-Savoie, il est vice-président du groupe UMP de 2002 à 2004 avant d'en devenir président en 2004 à la suite de la démission de Jacques Barrot. Il quitte cette fonction en 2007 et est alors élu Président de l'Assemblée nationale. | |||
Jean-François Copé | Député de la Seine-et-Marne, il est élu largement en 2007 face à Alain Joyandet. Il quitte cette fonction en 2010 lorsqu'il devient secrétaire général de l'UMP. | |||
Christian Jacob | Député de la Seine-et-Marne, il est élu en 2010 puis réélu en 2012 et 2017. En 2015, le groupe UMP devient groupe LR à la suite du changement de nom du parti. Il quitte cette fonction en 2019 lorsqu'il est élu Président des Républicains. | |||
Damien Abad | Député de l'Ain, il est élu en 2019 face à Olivier Marleix. Il quitte cette fonction en 2022 lorsqu'il est nommé Ministre des Solidarités, de l'Autonomie et des Personnes handicapées au sein du gouvernement Borne. | |||
Virginie Duby-Muller (intérim) |
Députée de la Haute-Savoie, elle devient présidente du groupe par intérim en attente de l'organisation d'une nouvelle élection. | |||
Olivier Marleix | 9 juin 2024 | Député d'Eure-et-Loir, il est élu président en 2022 face à Julien Dive. | ||
Laurent Wauquiez | En cours | Député de la Haute-Loire. |
Secrétaire générale
[modifier | modifier le code]- Depuis 2003 : Sylvie Gir[réf. nécessaire]
Identité visuelle
[modifier | modifier le code]-
Logotype avant 2015.
-
Logotype de 2015 à 2017.
-
Logotype de 2017 à 2024.
-
Logotype depuis 2024.
Références
[modifier | modifier le code]- « Déserts médicaux : la droite dégaine son plan », sur Le Figaro, (consulté le )
- Maxime Gil, « Les Républicains (LR) : quelle position face à Macron ? », sur www.linternaute.com, (consulté le )
- « Les Républicains : profondément divisé, le parti traverse une grave crise interne », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Loi immigration: Les Républicains font monter la pression », sur Le Figaro, (consulté le )
- Fabien Escalona, « Les Républicains sont l’un des partis conservateurs les plus en perdition », sur Mediapart, (consulté le )
- (en) « French conservative party chooses between moderate, right-wing presidential candidates », sur France 24, (consulté le )
- (en) « In first, French conservatives pick a woman as presidential candidate », sur euronews, (consulté le )
- (en) « French legislative elections: Conservative party Les Républicains hang on to survival », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Meet the three candidates competing to lead France's conservative party Les Républicains », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « France's conservative Républicains elect new leader to revive political fortunes », sur RFI, (consulté le )
- « LR : le maire d’Orléans annonce quitter les Républicains car « la position du parti est devenue illisible » », sur lejdd.fr, (consulté le )
- « À Carcassonne, Les Républicains revendiquent "l'héritage" du général De Gaulle », sur lindependant.fr (consulté le )
- « Eric Ciotti élu président de LR », sur Les Echos, (consulté le )
- « En un graphique : l’effondrement des Républicains et du Parti socialiste au fil des dernières présidentielles », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Le maire d'Orléans Serge Grouard quitte (cette fois définitivement) le parti Les Républicains », sur France Bleu, (consulté le )
- François-Xavier Roucaut, « Débâcle des Républicains, le gaullisme en état de mort cérébrale », sur Revue politique et parlementaire, (consulté le )
- « Sécurité, immigration : les propositions des Républicains pour « réarmer l'État » », sur Le Point, (consulté le )
- « LR, à l'offensive sur l’immigration, veut afficher une image d’unité après les divisions sur les retraites », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « La droite républicaine face à ses démons », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Immigration, justice, Europe… la droite lance une offensive contre l’Etat de droit », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Assemblée nationale, « Analyse du scrutin n°1 », sur Assemblée nationale (consulté le )
- « Assemblée nationale - Les groupes politiques », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
- « Composition et effectif des groupes politiques à l'Assemblée nationale », sur assemblee-nationale.fr, .
- « Assemblée : une Amicale gaulliste », sur Le Figaro, (consulté le ).
- « Les 68 membres du groupe Fillon sont... », sur Europe1.fr, .
- « Avec le « Rassemblement-UMP », Fillon pourrait prendre l’avantage sur Copé », .
- « 3 députés rejoignent le groupe filloniste », sur Le Figaro, .
- « Fiche de synthèse n°22 : Les groupes politiques », Assemblée nationale (consulté le ).
- Mathilde Mathieu et Ellen Salvi, « UMP : l'emprunt caché de 3 millions d'euros », sur Mediapart, (consulté le ).
- Marion Mourgue, « Comment l'exécutif tente de dynamiter la droite à l'Assemblée », sur Le Figaro, (consulté le ).
- Alain Auffray, « Les Républicains traversent la tempête », liberation.fr, (consulté le ).
- 95 membres LR et cinq apparentés. Au 21 juin 2017, seuls 94 députés ont participé à l'élection du président du groupe, les autres ayant l'intention d'adhérer au groupe Les Constructifs : républicains, UDI, indépendants auquel vont se joindre les 18 députés UDI. Six députés ont rejoint le groupe lors de l'ouverture de la XVe législature, dont cinq apparentés, portant le nombre de membres à 100.
- (en) « Analyse du scrutin n°1 », sur scribd.com, (consulté le ).
- « Députés : des trains de vie nettement supérieurs à la moyenne », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- « Les députés En marche traînent les pieds », sur Les Jours, (consulté le ).
- Samuel Le Goff, « Le groupe LR de l’Assemblée joue la carte du renouvellement », sur Contexte.com, (consulté le ).
- D.Mazzola (avec AFP), « Damien Abad, le patron des députés Les Républicains, claque la porte de son parti », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le )
- Wally Bordas et Emmanuel Galiero, « Olivier Marleix élu président du groupe LR à l'Assemblée nationale », Le Figaro, (lire en ligne)
- « A LR, le spectre du « carreau de sucre dans le café » », Le Monde.fr, (lire en ligne)
- Florent Le Du, « « Les Républicains » et le péché de gourmandise », sur L'Humanité,
- « Législatives 2024 : le groupe Les Républicains à l'Assemblée change de nom et devient La Droite Républicaine », sur France Info, (consulté le )
- Dominique Goubatian, « Le député Dino Cinieri quitte l’Assemblée nationale : « Je pars avec l’impression du devoir accompli » » , sur Le Progrès, (consulté le )
- « Le député Alexandre Vincendet, exclu des rangs de LR, rejoint le groupe Horizons » , sur Franceinfo, (consulté le )
- Composition de l'assemblée.
- « Claude Goasguen, député Les Républicains de Paris, est mort », sur Le Monde, (consulté le ).
- Pierre Lepelletier, « Présidentielle 2022 : Guillaume Peltier, ex-numéro 2 de LR, a "décidé de soutenir Éric Zemmour" », sur lefigaro.fr, (consulté le )
- Quentin Laurent et Alexandre Sulzer, « Éric Woerth : «J’ai décidé de soutenir Emmanuel Macron» », sur Le Parisien, (consulté le )
- « Législatives : La majorité investit 263 nouveaux candidats dont Véran, Fesneau et l'ex LR Reda », sur BFM TV, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- XIIe, XIIIe, XIVe, XVe, XVIe législatures de la Cinquième République française
- Rassemblement pour la France
- Groupe Les Républicains (Sénat)
Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Groupe Les Républicains - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le )