Homécourt
Homécourt | |||||
Église de la Nativité-de-la-Vierge. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Briey | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Orne Lorraine Confluences | ||||
Maire Mandat |
Jean Toniolo 2024-2026 |
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Code postal | 54310 | ||||
Code commune | 54263 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Homécourtois[1] | ||||
Population municipale |
6 250 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 1 408 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 13′ 25″ nord, 5° 59′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 175 m Max. 282 m |
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Superficie | 4,44 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Jœuf (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Val de Briey (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Jarny | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-homecourt.fr/ | ||||
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Homécourt est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est. C'est l'une des trois villes-centres de l'unité urbaine de Jœuf.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Homécourt se situe dans le Nord-Est de la France et fait partie du département de Meurthe-et-Moselle dans le pays Haut.
La commune est chef-lieu de canton depuis 1973 dans l'arrondissement de Briey et se compose comme suit (du nord au sud) : Moutiers, Homécourt, Auboué, Hatrize, Moineville, Batilly, Jouaville et Saint-Ail.
Son point culminant est approximativement à 282 mètres d’altitude.
C’est la seule commune en France à porter ce nom. Les habitants sont appelés les Homécourtois et les Homécourtoises.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par l'Orne[2],[Carte 1].
L'Orne, d'une longueur de 86 km, prend sa source dans la commune de Ornes et se jette dans la Moselle à Richemont, après avoir traversé 25 communes[3].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[4].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 773 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Homécourt est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Jœuf[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant six communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Val de Briey, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[14]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (52,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (46,3 %), forêts (25,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), terres arables (0,8 %), prairies (0,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]- Wucort et Vuecourt (1132), Hemecourt (XIIIe siècle), Hameicort (1260), Viecortz (1261), Hamelecourt (1281), Vieicourt (1292), Hameicourt (1307), Howucourt (1338), Hammecourt (1433), Houecour (1658), Hernecourt (1680).
- En lorrain : Hameco.
Histoire
[modifier | modifier le code]Homécourt est mentionné dans les écrits à partir du XIIe siècle. Sous le nom de Wucourt ou Vuecourt en 1132, de Hameicourt en 1260, Haulmécourt en 1301, Honecourt en 1658 et enfin de Haumecourt en 1831 avant d'arriver à sa forme actuelle de Homécourt depuis 1850. Néanmoins des découvertes archéologiques attestent de l'occupation des sols dès le Ier siècle.
En 1880, dans une carrière en exploitation, au lieu-dit Grande Fin, des sépultures mérovingiennes sont mises au jour. Au XIIe siècle, une forteresse dite "Castrum Rista" (fortification du château de la famille de Riste de Lunéville) est signalée à l'emplacement d'un éperon barré. Le château est rasé en 1215 par Henri II. Sur la rive gauche de l'Orne, un moulin dit « moulin de la Roche » est signalé ainsi que des vestiges de fours à pain et un puits. Sur la rive droite de l'Orne, un second moulin datant du XIIe siècle est signalé.
Village du duché de Bar, Homėcourt est rattaché au royaume de France en 1766 puis fait partie du département de la Moselle en 1790 mais reste français en 1871.
Entre 1871 et 1914, Homécourt fait office de village-frontière avec l'Allemagne. En 1895, le village agricole de 500 habitants devient un bourg sidérurgique. Sa population augmente considérablement atteignant plus de 7 000 habitants en 1914.
Le , un bataillon allemand pénètre en France et détruit la station d'Homécourt[18].
Entre 1940 et 1944, de nombreux réseaux de résistance voient le jour pour aider les prisonniers évadés des stalag et offlag. Le curé d'Homécourt et son acolyte de Jœuf sont au nombre des membres actifs. La frontière se situant à quelques pas de la cure, les prisonniers sont guidés chez Paul Mary et se voient gratifiés de faux papiers d'identité. Envoyé en déportation, le chanoine Delwal de Jœuf n'en revint pas.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La ville d'Homécourt est jumelée avec[25] :
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].
En 2022, la commune comptait 6 250 habitants[Note 6], en évolution de +1,35 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Le village d'environ 300 habitants à la fin du XIXe siècle va devenir progressivement une ville qui va atteindre 7 006 habitants en 1911, notamment à la suite de l'exploitation de l'usine sidérurgique d'Homécourt et à la construction des cités ouvrières sous la direction des mine et usine. Après la Seconde Guerre mondiale, l'extension des lotissements de la Petite Fin et de la Grande Fin portera ce chiffre à 10 616 au recensement de 1968. Avec la fermeture de la mine en 1981 et la fermeture de l'usine en 1983, la population va chuter graduellement jusqu'à 6 291 habitants en 2011.
Économie
[modifier | modifier le code]Secteur secondaire
[modifier | modifier le code]Sidérurgie
[modifier | modifier le code]En 1885, la société Vezin-Aulnoye entreprend un premier fonçage sans succès. En 1895, l'exploitation du puits du fond de la Noue débute. En 1950, la mine d'Homécourt est considérée comme la plus automatisée. Son déclin, consécutif à la conjoncture économique, débute en 1960 jusqu'à sa fermeture définitive en 1981.
L'origine de l'usine d'Homécourt remonte à la fin du XIXe siècle. En 1889, la société Vezin-Aulnoye commence la construction d'une usine sidérurgique sur le plateau du Haut des Tappes. L'exploitation débute en 1901. L'usine est composée de deux hauts-fourneaux. Un troisième haut-fourneau destiné à produire 200 tonnes de fonte par jour est allumé en 1904, puis un quatrième en .
Afin de loger sa main d'œuvre notamment composée d'émigrés[Note 7], la direction des mines et usines fait construire des cités ouvrières : la Petite Fin, la Grande Fin, la gare ainsi que l'hôtel des Ouvriers situé près de la gare.
En , l'usine est cédée à la compagnie des forges et aciéries de la marine. En 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale, cette usine est en pleine prospérité. L'usine est détruite durant la guerre.
Après la période de reconstruction, les hauts-fourneaux sont remis à feu entre et novembre 1926 puis subissent une nouvelle éclipse pendant la Seconde Guerre mondiale.
En 1964, les cinq hauts-fourneaux, situés sur une ligne nord-sud perpendiculaire à la vallée de l'Orne, sont chargés par skips et produisent 2 400 tonnes de fonte par jour.
Avec la crise européenne de la sidérurgie, au milieu des années 1970, l'activité fonte s'arrête sur le site, laissant un site et un environnement pollués par différents métaux lourds et les crassiers de l'usine. Depuis la réhabilitation se poursuit sur les sites et sols pollués, par des techniques expérimentales de phytoremédiation associant plantes et champignons[30].
L'usine d'Homécourt a changé plusieurs fois de nom au cours de son exploitation : La Marine en 1903, SIDELOR en 1951, Wendel-SIDELOR en 1968, et pour finir SACILOR en 1973. Elle est arrêtée définitivement en .
La SOLPA
[modifier | modifier le code]En 1908, la famille vosgienne Charles Pierre ouvre une boucherie rue Carnot, qui est déplacée en 1911 dans la rue Clemenceau. En 1927, dans un grand local construit sur le pâquis, la famille Pierre commence une activité de conserverie qui deviendra en 1930, la Société Lorraine de Produits Alimentaires[31]. Cette usine compte jusqu'à 600 salariés au début de la Seconde Guerre mondiale.
La SOLPA est rachetée en 1959 par Herta, qui connaît une expansion jusqu'en 1971, avant de déposer le bilan de la SOLPA en 1979. Les locaux de l'établissement sont occupés de 1980 à 1983. À l'issue de cette occupation, la coopérative ouvrière de production (COP) SOSALOR est constituée. Elle disparaît à son tour au bout d'une quinzaine de mois.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Édifice civils
[modifier | modifier le code]- Vestiges préhistoriques et antiques, existence d'une nécropole franque fouillée de 1881 à 1907 (mobilier aux musées de Metz et de Nancy).
- Château de Riste, château fort dans le bois de Riste, époque de construction : XIIe siècle (détruit) ; XIVe siècle, XVe siècle (?). Château cité au XIIe siècle, appartenant à Conrad de Riste et son frère Folmar de Hombourg, fils du comte de Lunéville, pris et démoli en 1215 par Henri II de Bar comte de Bar, reconstruit au XIVe ou XVe siècle (aujourd'hui il ne reste que quelques ruines)
- Château d'Homécourt, château construit par les maîtres de forges à la fin du XIXe siècle, reconverti en école de commerce puis galerie d'art et chambres d'hôtes, et aujourd'hui en résidence senior[32].
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]- Église paroissiale de la Nativité-de-la-Vierge construite en 1828, date avec référence, en remplacement d'une chapelle très ancienne.
- Ancienne chapelle des ouvriers construite en 1898.
- Ancienne chapelle Saint-Paul construite au XXe siècle, quartier Grande Fin, aujourd'hui désaffectée.
-
Ancienne chapelle des ouvriers.
-
Chapelle Saint-Paul.
Homécourt au cinéma
[modifier | modifier le code]Le film La Provinciale, avec Nathalie Baye, a en partie été tourné à Homécourt et dans la commune voisine de Joeuf[33],[34].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-Louis Foncine (1912-2005), auteur de romans pour la jeunesse et codirecteur de la collection Signe de piste, né à Homécourt.
- François Calaque (1940-1998), fondateur de la société Starsem qui a commercialisé le lanceur spatial russe Soyouz en Europe, est né dans cette commune.
- Alain Lithaud (1947-2023), compositeur de musique électro-acoustique, né à Homécourt.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- « Homécourt », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- Homécourt sur le site de l'Institut géographique national
- Histoire de la vallée de l'Orne
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Jœuf comprend trois villes-centres (Homécourt, Jœuf et Sainte-Marie-aux-Chênes) et trois communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- 200 ouvriers italiens (deux reçurent des balles) ont délivré un de leurs camarades captif des douaniers d'Homécourt (cf. Félix Fénéon, Nouvelles en trois lignes, Paris, Libella, coll. « Libretto », (1re éd. 1906) (ISBN 978-2-36914-446-5), p. 79).
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Homécourt » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Gentilés des communes de Meurthe et Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche communale d'Homécourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « l'Orne »
- « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Homécourt et Doncourt-lès-Conflans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Jœuf », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Homécourt ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Val de Briey », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Le 19e bataillon de chasseurs à pied pendant la guerre 1914-1918
- Les maires d'Homécourt, sur le site Geneawiki
- Notice LAPERCHE Robert par Jacques Girault, Gilles Morin, version mise en ligne le 4 mai 2011, dernière modification le 6 mai 2011
- « Résultats des élections municipales 2020 », sur letelegramme.fr (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- Menaces, propos homophobes, délation, plainte : ce qui a poussé le maire Jean Toniolo à démissionner, Le Républicain Lorrain, 2 août 2024
- Réélu maire d'Homécourt, Jean Toniolo opte pour une première adjointe, Le Républicain Lorrain, 28 septembre 2024.
- (pl) Miasta partnerskie
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- BEGUIRISTAIN T, BIDAR G, JONER E., LEYVAL C. : Utilisation de plantes mycorhisées pour réhabiliter un sol industriellement pollué par des métaux lourds et des HAP dans le nord-est de la France (Homécourt). ADEME « Première rencontre nationale de la recherche sur les sites et sols pollués », Paris, 12 et 13 décembre 2002
- Joan MOÏSE avec la collaboration du CPHJ et la Mémoire du Pays de l’Orne., « patrimoIne / homécourt / La Solpa, ou l’épopée d’un boucher-charcutier », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- Château d'Homécourt, en Lorraine, 54310 Homécourt
- Savez-vous quel film avec Nathalie Baye a été tourné à Homécourt ?, Le Républicain lorrain, 15 juillet 2022
- Quand Nathalie Baye tournait à Homécourt dans "La Provinciale", Le Républicain lorrain, 16 juillet 2022