Jean III de Trazegnies
Baron |
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Naissance | |
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Décès |
ou |
Père | |
Mère |
Sibylle de Ligne (d) |
Conjoint |
Isabelle de Werchin, Heiress of Liestres et Merlimont (d) |
Enfant |
Le baron Jean III de Trazegnies, comte d'Autreppes, (1470 - † 1550)[5], conseiller et grand chambellan de Charles Quint, gouverneur et châtelain d'Ath de 1540 à 1550, grand-bailli du roman pays de Brabant, capitaine général du pays et comté de Hainaut, chevalier de l'ordre illustre de la Toison d'or[6], est envoyé au Portugal pour épouser Isabelle de Portugal au nom de l'empereur[7].
Généalogie
[modifier | modifier le code]Son petit-fils, le marquis[8] Charles II de Trazegnies, mort en 1635, pair de Hainaut, est sénéchal héréditaire de Liège
Jean III est le fils de Jean II († 1513), sire et baron de Trazegnies qui épousera Sibylle de Ligne le .
Armes
[modifier | modifier le code]bandé d'or et d'azur de six pièces, à l'ombre de lion de sable, brochant sur le tout, à la bordure engrêlée de gueules.
Devise
[modifier | modifier le code]- « Tan que vive »[9]
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Roger Brunet, Généalogie et histoire de la famille de Trazegnies, Préfacée par le marquis de Trazegnies, 1996
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Maison de Trazegnies
- Liste des chevaliers de l'ordre de la Toison d'or
- Église Saint-Martin de Trazegnies
- Château de Trazegnies
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Les gisants de la famille de Trazegnies
- Le château de Trazegnies
- Trazegnies, souvenirs d’une puissante féodalité
- Geneanet
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Détail du gisant : La dame est couronnée, les cheveux tressés en nattes sont enserrés dans une résille d'apparat. La très riche robe est retenue par une curieuse ceinture lâche terminée par une chaînette. Jean III est nu-tête, cuirassé et revêtu du tabard blasonné, vêtement ample, descendant jusqu'aux genoux, qui se mettait dessus l'armure. Il porte le collier de la Toison d'Or.
- Le mot « gisant » vient de gésir « être allongé ».
- Entre les colonnettes, s'allonge un cadavre mi-décharné, un squelette, le portrait de la Mort. Il est entouré d'inscriptions en caractères gothiques: elles servent de commentaires. On y lit ces mots :
Mors omnia solvit.
Nascentes morimur,
Mors ultirna linea rerum.
Ortus cuncta suos repetunt matremque requirunt,
Et redit ad nihilum quod fuit antea nihil.Charlé de Tyberchamps : Notice descriptive et historique des principaux chateaux »