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Prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire

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Prieuré Notre-Dame
de La Charité-sur-Loire
Chevet de l'église Notre-Dame et bâtiments conventuels.
Chevet de l'église Notre-Dame et bâtiments conventuels.
Présentation
Culte Église catholique
Dédicataire Notre-Dame
Type Prieuré
Rattachement Abbaye de Cluny
Début de la construction XIe siècle[1]
Fin des travaux XIIe siècle[1]
Style dominant Roman
Protection Logo monument historique Classé MH (1840)
Patrimoine mondial Patrimoine mondial (1998)
Site web Paroisse Notre-Dame entre Loire et forêts
Géographie
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Ville La Charité-sur-Loire
Coordonnées 47° 10′ 39″ nord, 3° 01′ 03″ est[2]
Patrimoine mondial Patrimoine mondial
Site du Bien Chemins de Compostelle en France
Numéro
d’identification
868-024
Année d’inscription
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Prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire
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Prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire
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Prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire

Le prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire est un prieuré bénédictin situé dans le département de la Nièvre, dont la charte de fondation remonte à 1059 avec la donation d'une église Sainte-Marie[n 1]. Il est connu en 1070 sous le nom de Caritate et fait partie du diocèse d'Auxerre.

Il a subi des modifications au XIIe siècle, notamment la construction d'un déambulatoire à chapelles rayonnantes. L'église est surtout réputée pour son chevet à chapelles rayonnantes et sa façade (Ouest) avec ses deux tympans. Elle appartenait à un important prieuré dépendant de la puissante abbaye de Cluny, en Bourgogne dont il était une des cinq filles aînées. C'est pourquoi elle était, au Moyen Âge, la seconde plus grande église de France, après celle de Cluny III. Riche et puissant, le prieuré clunisien de La Charité-sur-Loire s'enrichit de nombreuses donations et possessions dès sa création. La grande église priorale actuelle doit montrer de par son décor soigné et sa grandeur, tout comme celle de Cluny, le rayonnement de l'ordre et du prieuré[3].

Le prieuré a été classé monument historique par la liste de 1840[1] et inscrit en 1998 sur la liste du patrimoine mondial par l'UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France (via Lemovicensis).

La construction du monastère de La Charité commence en 1052 sous le prieur dom Gérard de Cluny, sur des terres que lui donne Guillaume Ier, comte de Nevers. Il y avait cependant déjà eu une ou des constructions préexistantes, révélées par des recherches archéologiques sur la place Sainte-Croix (devant l'église) en 2015[4]. Un monastère du nom de Seyr aurait été construit à cet emplacement vers l'an 700 ; il aurait été détruit lors des raids vikings du IXe siècle[5].

En 1213, le pape Innocent III approuve la garde du prieuré et la procuration ou pension due par le prieuré de La Charité au comte de Nevers[6] :

« [Les comtes de Nevers] de fort grande anciénné avoient droit de garde & protection de plusieurs Abbayes, Prieurez & Églises, tant pour en être Fondateurs, comme en vertu des convenances faites avec justes causes, homologuées, ou par prescription de tems immemorial […] le Prieuré de La Charité au Diocese d'Auxerre […] Quant à la garde du Prieuré de La Charité se trouve Jugement arbitral de l'Évêque de Senlis, Guarin, Chancellier de France, par lequel les religieux reconnoissent le Bourg de La Charité & appartenance, êtes de la garde du comte est tenu de faire amender les torts qui auroient été faits ausdits Religieux en ce qui est de Juridiction seculiere […]. Jugement homologué par Louis qui témoigne que le compromis fut fait en sa presence en date de l'an 1224[7]. »

Une crise éclate au début du XIIIe siècle entre la maison-mère et le prieuré qui connaît des problèmes financiers, ainsi que des conflits politiques. Puis viennent les guerres des XIVe et XVIe siècles, qui détruisent les bâtiments. Sans oublier l'incendie de juillet 1559 qui ravage église et bâtiments conventuels. N'ayant pas les moyens de remettre l'ensemble des bâtiments en état, les travaux de première nécessité sont réalisés en ce temps de guerres de Religion. Pendant deux siècles du XVIIe siècle au XVIIIe siècle, plusieurs tentatives de réforme sont envisagées sans succès.

Nicolas Colbert et son neveu Jacques Nicolas Colbert furent nommés successivement par le pape prieurs de La Charité à condition de reconstruire le prieuré dévasté par un incendie 100 ans plus tôt. Les travaux commencèrent en 1667. Le prieuré retrouve son faste sous le prieurat du cardinal François-Joachim de Pierre de Bernis (1757–1790).

La Révolution laisse son empreinte sur le monastère qui est fermé en 1791. L'église devient paroissiale, les bâtiments sont vendus, et pendant les XIXe et XXe siècles s'installent successivement : une faïencerie, une fabrique de chaussures, un négoce en vin, qui font subir des transformations néfastes mais sauvent le prieuré de la destruction.

En 1840, Prosper Mérimée sauva l'édifice d'une destruction programmée par le passage de la route royale de Nevers à Paris entre le chœur et la tour de façade.

Depuis 2001 le prieuré est le site d'un des plus grands chantiers de restauration de Bourgogne[8].

Architecture

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L'église vue de la Loire.

L'église prieurale, façade occidentale

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Son tympan (1130–1135) porte le thème de l'Assomption de la Vierge, thème assez peu répandu sur les tympans romans. Il est présent néanmoins à Corneilla-de-Conflent, Cabestany, Gensac-la-Pallue, et plus tard dans des compositions gothiques (Notre-Dame de Paris, Notre-Dame de Chartres). Il est associé avec les scènes du linteau mettant en valeur le Fiat de la Vierge : l'Annonciation, la Visitation, l'Assomption que complète l'Annonce aux bergers. La dévotion mariale est très forte dans la liturgie clunisienne et principalement à La Charité placée sous le vocable de la Vierge, dont la fête patronale était le jour de l'Assomption[9],[n 2].

Le transept sud

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Tympan de la Transfiguration, sur le transept sud.

Son tympan daté de 1132, provenant de la façade occidentale, est visible sur la face intérieure du bras sud du transept. Son thème principal est la Transfiguration, c'est-à-dire l'apparition de Moïse et d'Élie aux côtés du Christ dans sa gloire divine. Ce sujet n'était pas le plus représenté à l'époque romane, car le Christ n'en est pas l'unique protagoniste, ce n'est donc pas une théophanie dans le vrai sens du terme. Cependant, il est très bien maîtrisé à La Charité-sur-Loire, le Sauveur étant nettement séparé des personnages de l'Ancien Testament, dans une mandorle.

Le tympan est ceinturé d'un arc outrepassé, qui lui permet d'être découpé en un demi-disque sur le registre supérieur, et une frise de type linteau pour le registre inférieur. Cette partie est elle-même scindée en deux zones inégales, à gauche portant l'Adoration des Mages, et à droite la Présentation de Jésus au Temple. Ces deux scènes font partie du cycle iconographique de l'Enfance du Christ incarné, alors que la Transfiguration qui prend la place habituelle d'une Ascension ou d'une théophanie à la fin des Temps est un des symboles de la continuité entre l'Ancien Testament et le Nouveau Testament. C'est Pierre le Vénérable qui introduisit la fête de la Transfiguration dans la liturgie clunisienne.

L'intérieur de l'église Notre-Dame

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Une vue intérieure de l'église Notre-Dame.
Le transept sud.

Au XIIe siècle, le chevet à sept absides échelonnées est replacé par un chevet déambulatoire et chapelles rayonnantes.

Bien que très remaniée au XVIIe siècle, l'intérieur de l'église Notre-Dame, récemment[Quand ?] restauré, impressionne par son transept de grande dimension, avec de hautes colonnes reposant sur des arcs brisés. Le chœur est composé de trois travées avec une voûte en berceau brisé, l'abside présentant un faux triforium et est entouré d'un déambulatoire avec des chapelles rayonnantes. Les chapiteaux du chœur présentent des sculptures à motifs pour la plupart animaliers. Les stalles furent installées sous Jean de La Magdeleine de Ragny en même temps que fut réalisé le passage de La Madeleine et la façade de l'église. C'est sous le prieur Jacques Nicolas Colbert que fut refaite une partie de l'église.

Sur le mur intérieur du croisillon sud se trouve le deuxième tympan qui présente dans une mandorle du Christ, entouré des deux prophètes Moïse et Élie. Les apôtres sont aussi représentés et plusieurs scènes de la vie de Jésus-Christ comme l'Adoration des mages et la Présentation au Temple[10].

L'église Saint-Laurent

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Son chevet fut découvert lors des fouilles de 1975, dans le jardin contigu à l'église prieurale. Elle est dédiée à « tous les saints », mais plus tard elle est connue sous le vocable de saint Laurent. C'était un lieu de prières autour des reliques, à l'attention de tous les saints, et des défunts y ayant fondé leur obiit. On y donne des cérémonies avec de nombreuses processions, selon les coutumiers. Elle est refaite après les incendies du XIIIe siècle.

Le cloître

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Il a été refait après les incendies du XIIIe siècle du côté est, puis au XVIIe siècle par le prieur Jacques Nicolas Colbert, toujours du côté de la galerie est.

Les bâtiments conventuels

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Au début du XVIe siècle, de nombreux travaux de restaurations et de constructions furent entrepris sous le prieurat de Jean de La Magdeleine de Ragny, dont la porterie, le logis prieural et le pressoir commun. Des bâtiments disparaissent sous des terrasses pendant le prieurat de Jacques Nicolas Colbert. Le bâtiment au nord du cloître est réalisé sous le cardinal François-Joachim de Pierre de Bernis.

Le grenier à sel

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Le prieuré avait un grenier à sel qui comprenait quarante et une paroisses de sa juridiction[11].

L'Élection

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L'Élection de La Charité-sur-Loire est créée en 1635 et dépend de la généralité de Bourges. Supprimée en 1661, elle est rétablie en 1669 et passe en 1696 à la généralité d'Orléans[12].

Dépendances

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Prieurs réguliers

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Prieurs commendataires

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Moines notables

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  • Dom Robert Mauvielle, prieur claustral (sous-prieur), mort le de la peste, contractée après avoir remplacé un curé de la ville défaillant. Il joua un rôle dans la réforme du prieuré de la Charité. Son culte [Quoi ?] fut d'assez courte durée[51]. Il participa en 1627, avec trois autres moines de Cluny, à la réalisation du bréviaire romain-monastique (celui du pape Paul V), à l'usage de Cluny, à savoir : dom Henri Girard, procureur général, Pierre Lucas, maître des novices, Jacques Naudin, chantre. Son épitaphe se trouve dans la chapelle de la Vierge dans l'église Sainte-Croix de La Charité-sur-Loire[52] ;
  • Dom Antoine Parmentier, religieux profès de Cluny, chantre du prieuré Notre-Dame de La Charité et prieur de Saint-Honoré, il fut en procès avec Messire Arnaud de Lange, chevalier et seigneur de Villemenan, et Hubert Lange, son fils, le [53].

« D'azur, à trois bourses ouvertes d'or, liées et ampadonnées de même, chacune chargée d'une quintefeuille de gueules, et en chef une fleur de lys du second émail. »

Inventaire des titres

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Il fut dressé en 1739 par Antoine Bataillier, notaire royal[54].

Notes et références

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  1. Il s'agit probablement de l'église priorale, bien que les fouilles archéologiques montrent qu'au XIe siècle une église existait dans l'enceinte du monastère. Voir Arnaud 2002, p. 45, note 2.
  2. Il est notable que l'abbé Pierre le Vénérable prend position en faveur de l'idée de l'Assomption corporelle de la Vierge.
  3. Geoffroy était le frère d'Hervé IV de Donzy.

Références

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  1. a b et c « Église priorale Sainte-Croix », notice no PA00112826, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. « Carte IGN classique » sur Géoportail.
  3. La Charité sur art-roman.net.
  4. Ariane Bouhours, « Un autre monastère pourrait-il se trouver sous le prieuré de La Charité ? », Le journal du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. « La Charité-sur-Loire », Bourgogneromane.com.
  6. a et b Coquille 1703, vol. 1, p. 329.
  7. Coquille 1703, vol. 1, p. 328.
  8. La cité monastique sur lacharitesurloire-tourisme.com.
  9. Arnaud 2002, p. 44-45.
  10. « La Charité-sur-Loire 2 », sur art-roman.net (consulté le ).
  11. E. Gillas, Les comtes et ducs de Nevers, La Librairie Internationale, , p. 51-52.
  12. Bouthier 2006–2007.
  13. Amédée Vattier (abbé), « Histoire du prieuré Saint-Christophe », Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, Senlis, impr. Charles Duriez, 1re série, vol. VI « année 1868 »,‎ , p. 67-114 (ISSN 1162-8820, lire en ligne).
  14. Archives départementales de la Nièvre, sous-série 1.Q.852. Baux et revenus (Paray-le-Monial), 1788-an XI.
  15. Fédération des sites clunisiens, église Saint-Laurent de Béard (Nièvre).
  16. Archives départementales de la Nièvre
  17. Archives départementales de la Nièvre, cote H.45 (1610–1737).
  18. E. Gillois, Les comtes et les ducs de Nevers (lire en ligne), p. 51-52.
  19. Archives départementales de la Nièvre, cote H.46. (1275–1785), documents relatifs au prieuré Saint-Victor de Nevers.
  20. Archives départementales de la Nièvre, cote H.48 (1780).
  21. La Rochelle 1827, p. a.25, a.342, b.258, b.258-263.
  22. a et b [Bussière et al. 1840] E. Bussière, Morellet et Barat, Album Pittoresque du Nivernais, t. 2 : Les Amognes, Lyon, éd. E. Bussière, , p. 115.
  23. Archives départementales de la Nièvre, cote H.49 (1519–1558).
  24. La Rochelle 1827, p. a. 343.
  25. Archives départementales de la Nièvre, cote H.33. (1612–1708) et 1. Q.846 : procès-verbaux d'estimation, soumissions et ventes des biens (1790-1792).
  26. Archives départementales de la Nièvre, cote H.473 (1790) et 1.Q.847, ventes des biens (Brassy, Corbigny, et Montsauche), 1790-1792.
  27. Archives départementales de la Nièvre, cote H.35 (1787) et 1.Q.848., ventes des biens (Cosne-sur-Loire et Saint-Père), 1790, an VI.
  28. Archives départementales de la Nièvre, cote H.36. et 1.Q.850, procès-verbaux d'estimation, soumissions et ventes (plan visuel du bois des Brosses non daté) (Cercy-la-Tour, Limanton et Vandenesse), 1790–1817.
  29. Archives départementales de la Nièvre, 1.Q.851., soumissions des biens (Lurcy-le-Bourg), 1790–1791.
  30. Archives départementales de la Nièvre, sous-série 1.Q. 849., soumissions des biens (Cossaye), 1790–1791.
  31. Archives départementales de la Nièvre, 1.Q.876., bois (Corvol-l'Orgueilleux), 1791.
  32. Fontenet Saint Marc (Nièvre).
  33. Revue Mabillon, 1930 sur Gallica.
  34. Fédération des sites clunisiens.
  35. Bussière et al. 1840, p. 115, note no 3.
  36. La Rochelle 1827, p. 395.
  37.  ;La Rochelle 1827, p. a.384, 385, 391, c.92, 93.
  38. Archives départementales de la Nièvre, cote H.31/3 (1784), 364 documents numérisés. Terrier reçu par le notaire Martignon avec plans.
  39. Archives départementales de la Nièvre, cote H.31/2 (1785), 188 documents numérisés, Terrier reçu par le notaire Martignon avec plans.
  40. Victor Gueneau, « Place Saint Sébastien » (Wiki 58), Société Académique du Nivernais, t. 29,‎ (lire en ligne [sur gennievre.net], consulté le ).
  41. Texte dans le décret du 28 juin 2011, no 2011-784, relatif aux appellations d'origine contrôlées, art. X, Légifrance.
  42. Lespinasse 1887, p. 427.
  43. [Lebeuf 1743 (2)] Abbé Jean Lebeuf, Mémoires concernant l'histoire ecclésiastique et civile d'Auxerre..., vol. 2, Auxerre, Perriquet, , 923 p. (lire en ligne), p. 532.
  44. Lespinasse 1887, p. 46.
  45. Lespinasse 1887, p. 95.
  46. a b et c Lespinasse 1887, p. 193.
  47. a et b Lespinasse 1887, p. 57-66 (doc. 19).
  48. Lespinasse 1887, p. 223.
  49. François Félix Chevalier, Mémoires historiques sur la ville et seigneurie de Poligny, vol. 2, impr. Delhorme, , p. 473.
  50. M. Maupassant, « Notice sur l'abbaye de Saint-Sauveur de Vertus », Séance publique de la Société d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. Mgr Crosnier, 1916, t. I, pp. 408-409. Cité par Dominique Dinet, Religion et sociétés : les réguliers et la vie régionale dans les diocèses d'Auxerre, Langres, Dijon, fin XVIe et XVIIIe siècles, vol. 1, Paris, La Sorbonne, , 950 p..
  52. Odon Hurel et Denyse Riche, Cluny, de l'abbaye à l'ordre clunisien Xe – XVIIIe siècles, éd. Armand Colin, , 330 p..
  53. Archives départementales de la Nièvre, série B, présidial de Saint-Pierre-le-Moustier, 18 mars 1659.
  54. Archives départementales de la Nièvre, cote H.27.

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Bibliographie

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  • [Arnaud 1995] Chantal Arnaud et M. J. Garniche, « Le prieuré clunisien de La Charité-sur-Loire. État de la question. », Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts, vol. 44,‎ , p. 63-94.
  • [Arnaud 2002] Chantal Arnaud, « Le monastère de La Charité-sur-Loire (Nièvre) », Dossiers d'Archéologie, no 25,‎ . Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Aveline 1924] Claude Aveline, Petite histoire de La Charité, La Charité-sur-Loire, .
  • [Bouthier 2006] Alain Bouthier, « L'élection de La Charité-sur-Loire : une anomalie administrative d'ancien régime », Les Cahiers haut-marnais, colloque de l'Association bourguignonne des sociétés savantes, nos 16, 248-251,‎ 2006–2007, p. 11-126. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Coquille 1703] Guy Coquille, Les Œuvres de maistre Guy Coquille, sieur de Romenay, contenant plusieurs traitez touchant les libertez de l'Eglife Gallicane…, t. 1, Bordeaux, Claude Labottière, , 569 p. (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Eysenbach 1841] G. Eysenbach, Insurrection des serfs du Prieuré de Sainte-Milburge de Wenlock, dépendant de La Charité-sur-Loire, vers 1163, t. 3, Bibliothèque de l'École des Chartes, 1841–1842, p. 563, 561-567.
  • [Henrion 2015] Fabrice Henrion, « Aux origines du prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire (Nièvre), nouvelles données archéologiques et nouvelles hypothèses », Bulletin du Centre d'études médiévales, Auxerre, vol. 19, no 1,‎ (lire en ligne [sur journals.openedition.org]).
  • [Lespinasse 1887] René de Lespinasse, Cartulaire du prieuré de La Charité-sur-Loire (Nièvre), Ordre de Cluni, Nevers, Morin-Boutillier, (réimpr. H. Champion à Paris), 478 p. (lire en ligne sur Gallica). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Rochelle et al. 1827] Jean Née de La Rochelle, Pierre Gillet et Jean-François Née de La Rochelle, Mémoires sur le département de la Nièvre, vol. I, Bourges, J.B.C. Souchois, , sur books.google.fr (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Vallery-Radot 1967] J. Vallery-Radot, « L'ancienne prieurale Notre-Dame à La Charité-sur-Loire », Congrès archéologiques de France,‎ , p. 86-103 (présentation en ligne).
  • [Vergnolle 1994] Éliane Vergnolle, L'Art roman en France : architecture, sculpture, peinture, Paris, éd. Flammarion, 1994, 2003, 2005, 383 p. (ISBN 978-2-08-011296-5).
  • Archives nationales, XVIIIe siècle, H5. 4764.
  • Archives départementales de la Nièvre, sous-série 1 Q 822-844, par Marie-Claude Guyot :

Articles connexes

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Liens externes

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