Aller au contenu

Touquin

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Touquin
Touquin
La mairie.
Blason de Touquin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Sophie Chevrinais
2020-2026
Code postal 77131
Code commune 77469
Démographie
Gentilé Touquinois
Population
municipale
1 221 hab. (2021 en évolution de +1,67 % par rapport à 2015)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 09″ nord, 3° 00′ 45″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 131 m
Superficie 11,34 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Touquin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Touquin
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Touquin
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Touquin
Liens
Site web touquin.fr

Touquin (prononcé [u.ˈkɛ̃]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Localisation de la commune de Touquin dans le département de Seine-et-Marne.

Touquin est un village rural de la Brie situé à 50 km à l'est de Paris, entre Coulommiers et Rozay-en-Brie, sur la RD 231 qui relie Lagny à Provins.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

L'altitude varie de 89 mètres à 131 mètres pour le point le plus haut , le bourg se situant à environ 116 mètres d'altitude (mairie) [2].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Touquin.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés :

  • la rivière l’Yerres, longue de 98,23 km[3], affluent en rive droite de la Seine, prend sa source à proximité au nord et traverse la commune, ainsi que :
    • un bras de 0,46 km[4] ;
    • le fossé 01 de la Commonnerie ou ru de la Poix, 5,55 km[5], qui conflue avec l’Yerres.
    • le ru de l'Étang de Beuvron, long de 10,44 km[6], affluent de l’Yerres ;
      • le fossé 01 du Griay de la Couture, long de 1,25 km[7], et ;
      • le ru des Français, cours d'eau naturel et canal, chenal non navigable, long de 7,08 km[8], confluent avec le ru de l'Étang de Beuvron.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 10,61 km[9].

Gestion des cours d'eau

[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[12].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mouroux à 10 km à vol d'oiseau[15], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,3 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[20],[Carte 1] :

  • « L'Yerres de sa source a Chaumes-en-Brie », d'une superficie de 18 ha, un tronçon de 40 km de l'Yerres qui héberge une faune piscicole et une végétation aquatique devenues rares en Ile-de-France[21],[22].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]
Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Touquin comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1],[23],[Carte 2], la « Forêt de Malvoisine » (994,15 ha), couvrant 5 communes du département[24].

Au , Touquin est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[25]. Elle est située hors unité urbaine[26]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[26]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].

Lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

La commune compte 70 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[29] (source : le fichier Fantoir) dont Courmereau, Grand-Fontaine, le Buisson, le Tau, Lureau, Villarceaux.

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,9% ), forêts (12,4% ), zones agricoles hétérogènes (11,3% ), zones urbanisées (2,3% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %)[30].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[31],[32],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

Planification

[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvé le et porté par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[33].

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration[34],[35].

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 494 dont 91,5 % de maisons et 8,5 % d'appartements[Note 4].

Parmi ces logements, 89,4 % étaient des résidences principales, 4,7 % des résidences secondaires et 5,9 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 84,5 % contre 13 % de locataires et 2,5 % logés gratuitement[36].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

On accède à la commune par l'autoroute A4, sortie no 13 en direction de Provins.

Elle est desservie par la ligne d'autocars No 50 (ProvinsChessy) du réseau de bus Provinois - Brie et Seine.

  • Formes anciennes : Tulquinum (vers 1107) ; Toquinum (1216) ; Tuquinum (1218) ; Thosquin (vers 1222) ; Tosquinum (1222) ; Parrochia de Tousquino (1250) ; Touquins (1252) ; Tooquin (1265) ; Toquinum versus Rosetum in Bria (1269) ; Toquin (1339) ; Touquenum (1353) ; Tourquin (1535)[37].
  • Le nom de ce village signifie « réserve de bois entre des défrichements ». Le Touquet-Paris-Plage dans le département du Pas-de-Calais a la même origine[38].

De l’Antiquité au Moyen Âge

[modifier | modifier le code]

De nombreux vestiges gallo-romains ont été retrouvés sur la commune[39], notamment à Villarceaux. « Des travaux exécutés dans la cour de l'école au mois d'août 1965 ont mis au jour un sarcophage de calcaire en deux parties, d'époque mérovingienne, contenant un petit couteau, deux anneaux de fer, un petit disque de bronze orné d'un masque humain grimaçant, à la bouche entrouverte, au front ceint d'un diadème à pointes dont les cheveux tombants se relèvent de chaque côté en trois boucles superposées. (...) Une sépulture gallo-romaine, relevée aussi par M. Garnier, gisait sous ce sarcophage[40] ».

Les premiers documents sur Touquin remontent à 1107. À cette époque le territoire appartient au prieur de La Celle-en-Brie[41].

Touquin a été jusqu'en 1285 située dans une « marche séparante ».

Du château, ruiné par la guerre de Cent Ans et démoli en 1775, il ne reste que le parc et une vieille tour, ancien moulin à vent.

Du Moyen Âge à la Révolution

[modifier | modifier le code]

Depuis le règne de Louis XII en 1504, le de chaque année une foire très importante avait lieu. Une halle s'élevait au milieu du village. Elle fut abandonnée et démontée en 1887[41].

Touquin a été un fief protestant au XVIe siècle[41]. Sur le blason de la commune une colombe fait référence à la période protestante[41].

En 1789, Touquin faisait partie de l'élection de Rozay et de la généralité de Paris, et suivait la coutume de Melun[37].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune était intégrée depuis 1926 à l'arrondissement de Provins du département de Seine-et-Marne.

Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Meaux[42].

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de Seine-et-Marne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rozay-en-Brie[43]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Coulommiers.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune avait adhéré à la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois Rivières, créée fin 1993.

Celle-ci fusionne le avec la communauté de communes de la Brie des Templiers pour former la communauté de communes du Pays de Coulommiers, intercommunalité qui s'étend en 2017 en fusionnant avec la communauté de communes de la Brie des moulins.

Elle envisage dès sa constitution en 2017 de fusionner sous le statut de communauté d'agglomération avec la communauté de communes du Pays fertois afin d'augmenter leurs ressources en bénéficiant au titre du nouveau statut de dotations plus élevées de l'État, tout en ayant une possibilité de négociation plus équilibrée avec Val d'Europe Agglomération et la communauté d'agglomération du pays de Meaux[44],[45].

C'est ainsi qu'est créée le la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) le [46], pour une population de 75 000 habitants.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[47]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
décembre 2001[48] mars 2008 Thierry Vogt   Enseignant puis chef d'entreprise
mars 2008 mai 2009[49] Jean-Claude Fuzier   Démissionnaire
juillet 2009 En cours
(au 28 juillet 2020)
Sophie Chevrinais DVD Formatrice, cheffe de projet
Vice-présidente de la CC du Pays de Coulommiers (2013[50] → 2017)
Vice-présidente de la CA Coulommiers Pays de Brie (2018 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026
[51],[52]

Équipements et services

[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement

[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [53],[54].

Assainissement des eaux usées

[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Touquin est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [55],[56],[57].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[58]. La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB)La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[55],[59].

Eau potable

[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de la région de Touquin qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [55],[60],[61].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[63].

En 2021, la commune comptait 1 221 habitants[Note 5], en évolution de +1,67 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
677798838522850868874856880
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
819845870779771737676685699
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
691700680522514553562555514
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5005055927798729501 0701 1041 095
2014 2019 2021 - - - - - -
1 2001 2211 221------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[64].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Créteil. Pour le calendrier des vacances scolaires, Touquin est en zone C.

Touquin dispose en 2018 :

Autres services publics

[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un bureau de poste, rouvert en 2018 après rénovation[67] ainsi que d'un centre de première intervention des pompiers (CPIA)[38].

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 461, représentant 1 241 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 660 euros[68].

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 88, occupant 607 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72,5 % contre un taux de chômage de 7,4 %. Les 20 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,3 % de retraités ou préretraités et 5,8 % pour les autres inactifs[69].

Secteurs d'activité

[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de 81 dont 9 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 12 dans la construction, 29 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 1 dans les activités immobilières, 14 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 6 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 7 étaient relatifs aux autres activités de services[70].

En 2020, 20 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 14 individuelles.

Au , la commune ne possédait aucun hôtel mais un terrain de camping disposant de 192 emplacements[71].

Le village compte en 2017 une boulangerie[72], une épicerie[73] et un café-tabac-presse, ainsi qu'un cabinet infirmier[38].

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Touquin est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[74].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[75]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 14 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 54 ha en 1988 à 111 ha en 2010[74]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Touquin, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Touquin entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[74],[Note 7]
Nombre d’exploitations (u) 14 10 5
Travail (UTA) 23 13 6
Surface agricole utilisée (ha) 762 623 555
Cultures[76]
Terres labourables (ha) 722 600 530
Céréales (ha) 595 390 342
dont blé tendre (ha) 328 238 213
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 176 s 28
Tournesol (ha) 33 s s
Colza et navette (ha) s 76 70
Élevage[74]
Cheptel (UGBTA[Note 8]) 92 61 43

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

On peut noter :

  • le château de Malvoisine[38] ;
  • Moulin de Malvoisine
  • Villa des roches
  • la mairie, construite à l'emplacement de la ferme du château et achevée en 1887[38] ;
  • les lavoirs. Celui de la route du Tau a été réhabilité en 2017 avec l'aide de la Fondation du Patrimoine. Celle du second, situé rue Fontaine-la-Reine, devrait suivre[77] ;
  • l'église, en grès et meulière, date du XIIe ou XIIIe siècle, et est sous le vocable de saint Étienne. À l'intérieur, on peut voir un fauteuil d'époque Empire, classé Monuments Historiques[78].
Dans une châsse est conservée une relique : un humérus de sainte Restitute[38]. On rend un culte particulier à cette sainte dans la commune d'Arcy-Sainte-Restitue dans le département de l'Aisne. Suivant la légende, elle y aurait fait jaillir une fontaine et ressuscité un enfant mort.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
d’azur au sautoir d’or cantonné, en chef, d’une colombe fondante d’argent et aux flancs et en pointe d’un boulet du même.

Le blason, créé en 1996, comporte une colombe, qui fait référence à la période protestante, une croix symbolise le moulin à vent et les trois besants évoquent les pierres du martyre de Saint Étienne, patron de la paroisse[41].

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Touquin », p. 1353–1354
  • Patrick Georges.Touquin : Histoire générale . Archives départementales de Seine-et-Marne. Réf.100 J 1042

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  4. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Sites Natura2000 de Touquin » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  2. « Zones ZNIEFF de Touquin » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  3. « Touquin - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Plan séisme consulté le 7 juin 2020 ».
  2. « Touquin » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yerres (F4--0210) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Yerres (F4705001) » (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commonnerie (F4703500) » (consulté le ).
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de l'Étang de Beuvron (F4705000) » (consulté le ).
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Griay de la Couture (F4705500) » (consulté le ).
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Francais (F4705700) » (consulté le ).
  9. 77469 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 19 février 2019
  10. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  11. « SAGE Yerres - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  12. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  15. « Orthodromie entre Touquin et Mouroux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Mouroux_sapc » (commune de Mouroux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Mouroux_sapc » (commune de Mouroux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  19. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Touquin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « L’Yerres de sa source à Chaumes-en Brie - ZSC - FR1100812 », sur driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « site Natura 2000 FR1100812 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Touquin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF la « Forêt de Malvoisine » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Touquin ».
  27. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  29. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  31. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
  32. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  33. [PDF]« Le SCOT du bassin de vie de Coulommiers - Note d'enjeux », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  34. « PLUi de la CC de la Bassée - Montois », sur cc-basseemontois.fr (consulté le ).
  35. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  36. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 7 juin 2020
  37. a et b Dictionnaire topographique de la France, page 531
  38. a b c d e et f Site de Touquin, consulté le .
  39. David Leduc, « De l’archéologie à Touquin pour les Journées du Patrimoine : La société archéologique de Touquin organise ce week-end dans le cadre des journées du patrimoine des visites sur un site archéologique gallo-romain », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Contrairement à ce que l’on peut entendre parfois, ce n’est pas le Pompéi de la Brie, plaisante Fabrice Rigault, responsable scientifique de l’association. Pour autant, il s’agit de vestiges parfaitement conservés, de l’Antiquité tardive. Ils datent du IVe siècle ».
  40. Michel Fleury, « Région parisienne », Gallia, t. 25, no 2,‎ , p. 205-223 (lire en ligne, consulté le ).
  41. a b c d et e « Touquin » [PDF], L'histoire de nos villages, sur valmagazine.com (consulté le ).
  42. « Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01,‎ , p. 11-23 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  43. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Sébastien Roselé, « Pays de Coulommiers. Franck Riester veut fusionner avec le Pays fertois », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (www.leparisien.fr/coulommiers-77120/pays-de-coulommiers-franck-riester-veut-fusionner-avec-le-pays-fertois-28-03-2017-6803919.php, consulté le ).
  45. « La Ferté-sous-Jouarre : le Pays fertois dit « oui » au Pays de Coulommiers », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (www.leparisien.fr/la-ferte-sous-jouarre-77260/la-ferte-sous-jouarre-le-pays-fertois-dit-oui-au-pays-de-coulommiers-04-04-2017-6823560.php, consulté le ).
  46. Sébastien Roselé, « Pays de Coulommiers et Pays fertois ne feront qu’un au 1er janvier 2018 : La préfecture a donné son accord. Les communautés de communes de Coulommiers et de La Ferté-sous-Jouarre fusionneront le  », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. « Les maires de Touquin », sur francegenweb.org (consulté le ).
  48. « Nouveaux maires à Pomponne et Touquin », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « A Touquin, Thierry Vogt, 37 ans, a été élu maire sans surprise vendredi soir, avec neuf voix sur quinze ».
  49. « Le maire démissionne », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne) « Elle est le dénouement de discordes qui couvent au conseil municipal depuis, quasiment, les élections de mars 2008 ».
  50. Gaël Arcuset, « Coulommiers : la nouvelle intercommunalité est née : A peine créée, la communauté de communes du Pays de Coulommiers se met en place. Voici les premiers éléments… », Le Pays Briard,‎ (lire en ligne).
  51. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Conseil municipal du 28 mars 2014 » [PDF], sur touquin.fr (consulté le ).
  52. « Liste des maires 2020 » [PDF], Élections municipales 2020, Préfecture de Seine-et-Marne, (consulté le ).
  53. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  54. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
  55. a b et c « Commune de Touquin - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  56. « CA Coulommiers Pays de Brie (CACPB) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  57. « CA Coulommiers Pays de Brie (CACPB) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  58. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
  59. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  60. « SIAEP de la région de Touquin - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  61. « SIAEP de la région de Touquin - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  62. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  63. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  64. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  65. Site du Ministère de l'Éducation Nationale (école maternelle)
  66. Site du Ministère de l'Éducation Nationale (école élémentaire)
  67. « La réouverture tant attendue du bureau de poste », Infos Touquin, no 76,‎ , p. 7 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  68. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 30 avril 2021.
  69. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 30 avril 2021.
  70. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 30 avril 2021.
  71. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 30 avril 2021.
  72. David Leduc, « Touquin. Nicolas Masson a repris la boulangerie artisanale : Nicolas Masson a repris la boulangerie du village de Touquin il y a plusieurs mois. Le Pays Briard est allé à la rencontre de ce nouvel artisan plein d'ambitions », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  73. « La reprise de l’épicerie rendue en partie possible par un prêt d’honneur : Le repreneur de l'épicerie de Touquin a bénéficié d'un prêt d'honneur, en partie financé par le Pays de Coulommiers, pour diriger le commerce de Touquin », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  74. a b c et d « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Touquin. », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  75. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  76. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Touquin. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  77. « La restauration du lavoir – route du TAU », Infos Touquin, no 76,‎ , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  78. « Fauteuil », notice no PM77001736, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
pFad - Phonifier reborn

Pfad - The Proxy pFad of © 2024 Garber Painting. All rights reserved.

Note: This service is not intended for secure transactions such as banking, social media, email, or purchasing. Use at your own risk. We assume no liability whatsoever for broken pages.


Alternative Proxies:

Alternative Proxy

pFad Proxy

pFad v3 Proxy

pFad v4 Proxy